Pourlâapplication de cette disposition, il y a lieu dâinterprĂ©ter la notion de « sociĂ©tĂ© dont les titres sont inscrits Ă la cote dâun marchĂ© boursier rĂ©glementĂ© » comme visant lâensemble des Ă©tablissements de crĂ©dit visĂ©s Ă lâarticle L. 511-1 du code monĂ©taire et financier (CoMoFi). En consĂ©quence, la notion
Le Vendredi 29 juillet 2022 LâhydroĂ©lectricitĂ© est la deuxiĂšme source de production Ă©lectrique derriĂšre le nuclĂ©aire et la premiĂšre source dâĂ©lectricitĂ© renouvelable en France. Cette filiĂšre est importante pour le systĂšme Ă©lectrique Ă plusieurs titres, notamment en termes dâĂ©quilibre et de sĂ©curisation du rĂ©seau. La France est historiquement bien Ă©quipĂ©e avec un dĂ©veloppement important des ouvrages hydroĂ©lectriques dĂšs le dĂ©but et tout au long du vingtiĂšme siĂšcle. Lâenjeu actuel pour lâĂtat est dâassurer la modernisation et la compatibilitĂ© du parc aux exigences accrues de sĂ©curitĂ© et dâenvironnement dâune part, et de permettre lâexploitation du gisement rĂ©siduel dâautre part conformĂ©ment aux objectifs fixĂ©s dans la programmation pluriannuelle de lâĂ©nergie. L'hydroĂ©lectricitĂ© aujourd'hui en France PrĂ©sentation de l'hydroĂ©lectricitĂ© LâhydroĂ©lectricitĂ© transforme lâĂ©nergie gravitaire des lacs, des cours dâeau et des marĂ©es, en Ă©lectricitĂ©. Une installation hydroĂ©lectrique est gĂ©nĂ©ralement composĂ©e dâun ouvrage de retenue barrage permettant le cas Ă©chĂ©ant de stocker lâeau, et de lâorienter vers une usine de production au sein de laquelle lâeau met en mouvement une turbine. Comme dans dâautres moyens de production dâĂ©lectricitĂ©, la turbine est associĂ©e Ă un alternateur qui transforme lâĂ©nergie cinĂ©tique de la rotation en Ă©nergie Ă©lectrique, Ă©vacuĂ©e sur le rĂ©seau Ă©lectrique. La puissance Ă©lectrique est proportionnelle Ă la hauteur de chute et au dĂ©bit turbinĂ©. On distingue plusieurs types dâinstallations hydroĂ©lectriques en fonction de la durĂ©e de remplissage de leur rĂ©servoir les installations dites au fil de lâeau », qui turbinent tout ou partie du dĂ©bit dâun cours dâeau en continu. Leur capacitĂ© de modulation est trĂšs faible et leur production dĂ©pend du dĂ©bit des cours dâeau. les installations dites par Ă©clusĂ©es », qui disposent dâune petite capacitĂ© de stockage, typiquement comprise entre 2 heures et 400 heures de production. Ces installations permettent une modulation journaliĂšre ou hebdomadaire de la production en accumulant dans leurs retenues des volumes dâeau qui seront turbinĂ©s pendant les pics de consommation. les installations dites centrale de lac » disposant dâune retenue plus importante. Ces installations accumulent des volumes dâeau dans des retenues de taille consĂ©quente nĂ©cessitant le plus souvent des barrages de grande taille, gĂ©nĂ©ralement Ă lâaval des moyennes et hautes montagnes. Ces installations permettent de diminuer lâexposition aux conditions hydrologiques. les stations de transfert dâĂ©nergie par pompage » ou STEP, utilisĂ©es pour le stockage de lâĂ©nergie Ă©lectrique ces installations permettent de pomper pendant les pĂ©riodes de moindre consommation dâĂ©lectricitĂ© vers un rĂ©servoir haut des volumes dâeau pour les turbiner pendant les pics de consommation. Les installations au fil de lâeau, voire par Ă©clusĂ©es, fournissent une hydroĂ©lectricitĂ© de base peu modulable alors que les installations avec des retenues importantes sont trĂšs utiles pour la flexibilitĂ© du systĂšme Ă©lectrique, et permettent de rĂ©pondre aux pics de consommation en effet, ces installations peuvent fournir de grandes puissances trĂšs rapidement mobilisables quelques minutes. Production hydroĂ©lectrique et puissance installĂ©e LâhydroĂ©lectricitĂ© est la deuxiĂšme source de production Ă©lectrique derriĂšre le nuclĂ©aire et la premiĂšre source dâĂ©lectricitĂ© renouvelable en France. Avec environ 25,7 GW gigawatts installĂ©s en France mĂ©tropolitaine, le pays dispose de lâun des plus grands parcs hydroĂ©lectriques en Europe . Cette puissance reprĂ©sente environ 20 % de la puissance Ă©lectrique totale installĂ©e. Compte tenu de la forte variabilitĂ© aux conditions hydrologiques dâune annĂ©e Ă lâautre, la part de lâhydroĂ©lectricitĂ© dans le mix Ă©lectrique, est davantage mesurĂ©e par le productible, câest-Ă -dire la production maximale annuelle sans arrĂȘts maintenance, etc. dans des conditions hydrologiques moyennes. Le productible annuel est dâenviron 67 TWh tĂ©rawatt-heure. La production effective varie fortement selon les annĂ©es en fonction des conditions hydrologiques, comme lâa dĂ©montrĂ© la pĂ©riode rĂ©cente de 50,3 TWh en 2011, la production a cru Ă 75,7 TWh en 2013. Elle est de 65,1 TWh en 2020, ce qui a reprĂ©sentĂ© 13 % de la production Ă©lectrique annuelle. Les capacitĂ©s diffĂšrent en fonction du type dâinstallation Puissance installĂ©e totale GW Production totale TWh Fil de lâeau 7,7 30 ĂclusĂ©es 3,9 10 Lac 9,6 15 STEP 4,2 1,2 RĂ©partition du parc et de la production moyenne en fonction des types dâinstallations. La page hydroĂ©lectricitĂ© du site du Syndicat des Ănergies Renouvelables SER Panorama de lâĂ©lectricitĂ© renouvelable sur le site de RTE Production journaliĂšre et locale historique et en temps réél sur eco2mix de RTE Le site de lâInternational Hydropower Association IHA Cadre rĂ©glementaire de lâhydroĂ©lectricitĂ© Cadre juridique de lâexploitation des installations hydroĂ©lectriques Lâensemble des dispositions lĂ©gislatives et rĂ©glementaires spĂ©cifiques aux installations hydroĂ©lectriques sont rassemblĂ©es dans le livre V du code de lâĂnergie. LâhydroĂ©lectricitĂ© est rĂ©glementĂ©e par lâĂtat depuis la loi du 16 octobre 1919 relative Ă lâutilisation de lâĂ©nergie hydraulique, qui stipule que nul ne peut disposer de lâĂ©nergie des marĂ©es, des lacs et des cours dâeau [âŠ] sans une concession ou une autorisation de lâĂtat » article du code de lâĂ©nergie. On distingue donc ces deux cadres juridiques pour les installations hydroĂ©lectriques suivant la puissance maximale brute PMB des installations Installations de moins de 4,5 MW le rĂ©gime de lâautorisation Elles appartiennent en gĂ©nĂ©ral Ă des particuliers, des petites entreprises ou des collectivitĂ©s. Elles nĂ©cessitent lâobtention dâune autorisation environnementale, dĂ©livrĂ©e par le prĂ©fet pour une durĂ©e limitĂ©e, et dont les rĂšgles dâexploitation dĂ©pendent des enjeux environnementaux du site concernĂ©. Les installations de plus de 4,5 MW le rĂ©gime des concessions Elles appartiennent Ă lâĂtat, et elles sont construites et exploitĂ©es par un concessionnaire, pour son compte . Pour les installations entre 4,5 MW et 100 MW, la concession est dĂ©livrĂ©e par le prĂ©fet, alors quâau-delĂ de 100 MW, le ministre chargĂ© de lâĂ©nergie la dĂ©livre. La durĂ©e des concessions doit permettre dâamortir les investissements initiaux rĂ©alisĂ©s par le concessionnaire, qui rend gratuitement Ă lâĂtat les installations Ă lâĂ©chĂ©ance de sa concession. Installations hydroĂ©lectriques soumises Ă autorisation Tout producteur peut dĂ©poser une demande dâautorisation pour exploiter une chute hydraulique en vue de produire de lâĂ©lectricitĂ©, lorsque la puissance maximale brute de lâinstallation ne dĂ©passe pas 4,5 MW ou lorsque la production dâĂ©lectricitĂ© est un usage accessoire de lâexploitation de la chute. Lâautorisation dâexploiter au titre du livre V du code de lâĂ©nergie est alors comprise dans lâautorisation environnementale dĂ©livrĂ©e par le prĂ©fet selon la nomenclature loi sur lâeau dite IOTA ». Les installations hydroĂ©lectriques soumises Ă autorisation reprĂ©sentent une puissance installĂ©e dâenviron 2,5 GW pour une Ă©nergie produite de lâordre de 4,5 TWh par an. Le rĂ©gime des concessions hydroĂ©lectriques La France compte plus de 340 concessions hydroĂ©lectriques qui reprĂ©sentent plus de 90 % du total de la puissance hydroĂ©lectrique installĂ©e. Le rĂ©gime des concessions hydroĂ©lectriques transfĂšre la responsabilitĂ© des investissements, de la construction et de lâexploitation dâune installation hydroĂ©lectrique Ă un tiers qui se rĂ©munĂšre en tirant bĂ©nĂ©fice de lâexploitation des installations pendant toute la durĂ©e de la concession. En contrepartie, le concessionnaire verse une redevance, accorde des rĂ©serves en eau et en Ă©nergie et doit Ă lâissue de la concession faire retour gratuit des biens nĂ©cessaires Ă lâexploitation de la concession Ă lâĂtat qui peut alors dĂ©cider de renouveler la concession. Ces diffĂ©rentes obligations apparaissent dans le cahier des charges de la concession, qui lie le concessionnaire Ă lâĂtat. La gestion des concessions hydroĂ©lectriques Les DREAL sont en charge du contrĂŽle des concessions hydroĂ©lectriques. Elles encadrent les travaux de construction, de gestion et dâentretien en approuvant notamment les dossiers dâexĂ©cution de travaux rĂ©alisĂ©s par les concessionnaires. Elles sont responsables dâassurer un suivi de lâoccupation fonciĂšre de la concession autorisation dâoccupation par des tiers, autorisation de sortie de bien du domaine concĂ©dĂ©. Elles instruisent Ă©galement les demandes dâinscription au registre des concessions et examinent les dossiers de fin de concession DFC. Lâoctroi et le renouvellement des concessions hydroĂ©lectriques La procĂ©dure dâoctroi des concessions a Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©e dans le livre V du code de lâĂnergie par la loi du 17 aoĂ»t 2015 relative Ă la transition Ă©nergĂ©tique pour la croissance verte LTECV et son dĂ©cret dâapplication n°2016-530. En particulier, lâĂtat choisira pour chaque concession la meilleure offre compte tenu des trois critĂšres suivants lâoptimisation Ă©nergĂ©tique de lâexploitation de la chute la mise en concurrence incitera les candidats Ă proposer des investissements importants de modernisation des installations existantes, et de nouveaux Ă©quipements pour augmenter la performance de cette Ă©nergie renouvelable. le critĂšre environnemental par le respect dâune gestion Ă©quilibrĂ©e et durable de la ressource en eau permettant la conciliation de ses diffĂ©rents usages les candidats devront proposer une meilleure protection des Ă©cosystĂšmes tout en respectant les usages de lâeau autre quâĂ©nergĂ©tiques protection des milieux aquatiques, soutien dâĂ©tiage, irrigation⊠le critĂšre Ă©conomique par la sĂ©lection des meilleures conditions Ă©conomiques et financiĂšres pour l'Etat et les collectivitĂ©s territoriales les candidats devront proposer un taux pour la redevance proportionnelle au chiffre dâaffaires de la concession, dont le bĂ©nĂ©fice reviendra Ă lâĂtat et aux collectivitĂ©s locales. Le renouvellement des concessions hydroĂ©lectriques est un enjeu important pour lâĂtat qui souhaite tirer le meilleur parti de ces installations en termes Ă©nergĂ©tique puissance installĂ©e, capacitĂ© de modulation, Ă©conomique afin de tirer bĂ©nĂ©fice de ces installations amorties et environnemental Ă©nergie renouvelable non Ă©mettrice de gaz Ă effet de serre Ă condition de limiter lâimpact des ouvrages sur les milieux aquatiques. Lâoctroi de concessions est Ă©galement possible sur un secteur gĂ©ographique nouveau. Cette procĂ©dure fait lâobjet dâune publication dâun avis de concession, Ă lâinitiative de lâĂtat concĂ©dant ou sur proposition dâune personne ou dâun groupement de personnes y ayant intĂ©rĂȘt via une demande matĂ©rialisĂ©e par un dossier dâintention. Cette attribution se fera Ă lâissue dâune procĂ©dure concurrentielle dâattribution suivant les mĂȘmes critĂšres que ceux dĂ©finis pour le renouvellement des concessions. Enjeux environnementaux et de sĂ©curitĂ© des ouvrages hydroĂ©lectriques Enjeux environnementaux Les installations permettant de produire de lâhydroĂ©lectricitĂ© peuvent avoir un effet perturbateur sur le milieu naturel eau et sur les Ă©cosystĂšmes. Câest pourquoi elles doivent limiter leurs impacts sur la continuitĂ© Ă©cologique notamment en Maintenant dans le cours dâeau un dĂ©bit minimum dĂ©bit rĂ©servĂ© » permettant a minima de garantir des conditions nĂ©cessaires au dĂ©veloppement de la vie dans le tronçon court-circuitĂ© par lâinstallation. Ce dĂ©bit rĂ©servĂ© reprĂ©sente au moins le dixiĂšme du module du cours dâeau sur lequel le seuil ou le barrage est installĂ©, le module Ă©tant le dĂ©bit moyen interannuel du cours dâeau. PrĂ©servant des passages ou des modes de gestion pour les espĂšces poissons migrateurs et pour les sĂ©diments, par exemple par lâinstallation de passes Ă poissons pour leur permettre la montaison et la dĂ©valaison des cours dâeau. Ces enjeux sont pris en compte dans lâinstruction des projets au titre de la loi sur lâeau procĂ©dure applicable aux installations, ouvrages ou travaux soumis Ă autorisation ou lors de lâinstruction dâune demande de concession. SĂ©curitĂ© des ouvrages hydrauliques Les installations hydroĂ©lectriques font lâobjet dâune surveillance particuliĂšre et sont soumises Ă des obligations importantes de sĂ©curitĂ© et de sĂ»retĂ© dĂšs lors que la production dâĂ©lectricitĂ© fait appel Ă un barrage ou nĂ©cessite une conduite forcĂ©e. La sĂ©curitĂ© des ouvrages hydrauliques est de la responsabilitĂ© des gestionnaires. Le contrĂŽle sâappuie localement sur les services dĂ©concentrĂ©s de lâĂtat et leur service de contrĂŽle de la sĂ©curitĂ© des ouvrages hydrauliques SCSOH. Il est pilotĂ© nationalement par le pĂŽle national de la sĂ©curitĂ© des ouvrages hydrauliques PoNSOH qui est un service Ă compĂ©tence nationale rattachĂ© Ă la direction gĂ©nĂ©rale de la prĂ©vention des risques. La nĂ©cessaire expertise technique Ă laquelle peuvent faire appel les services en rĂ©gion est assurĂ©e par plusieurs organismes le centre dâĂ©tudes et dâexpertise sur les risques, lâenvironnement, la mobilitĂ© et lâamĂ©nagement Cerema, lâinstitut national de recherche pour lâagriculture, lâalimentation et lâenvironnement INRAE ou le PoNSOH lui-mĂȘme qui est chargĂ© de coordonner cet appui technique au profit des services de contrĂŽle. Il existe Ă©galement un comitĂ© technique permanent des barrages et ouvrages hydrauliques, composĂ© dâexperts, qui est sollicitĂ© sur des dossiers complexes intĂ©ressant la sĂ©curitĂ© des ouvrages hydrauliques en cours de rĂ©habilitation et Ă©galement Ă lâoccasion de la premiĂšre mise en eau des nouveaux barrages de classe A voir ci-aprĂšs. En fonction de leur hauteur et de leur volume, les barrages sont en effet classĂ©s dans les catĂ©gories A, B ou C par la rĂ©glementation. Chaque catĂ©gorie fixe pour les gestionnaires des obligations croissantes en termes de sĂ©curitĂ© les plus fortes concernent la classe A, prĂ©cisĂ©es dans le code de lâenvironnement et le code de lâĂ©nergie. De façon synthĂ©tique, les obligations des gestionnaires de barrages en terme de sĂ©curitĂ© sont les suivantes Conception et suivi des travaux par un maitre dâĆuvre agréé, avec respect des prescriptions techniques fixĂ©es par un arrĂȘtĂ© ministĂ©riel ; RĂ©alisation pĂ©riodique dâune Ă©tude de dangers barrages de classes A et B ; Mise en place dâune surveillance, de lâentretien et de visites techniques dans le respect dâune documentation préétablie, avec obligation de rapports pĂ©riodiques associĂ©s ; Mise en place et suivi de dispositifs dâauscultation, avec les rapports associĂ©s ; DĂ©claration des Ă©vĂšnements importants pour sĂ©curitĂ© hydraulique. En rĂ©gion, le SCSOH a pour mission de veiller, Ă travers les autorisations de travaux quâil instruit et les contrĂŽles sur place ou sur piĂšces quâil diligente sur les barrages en service, Ă ce que les concessionnaires aient convenablement conçu et rĂ©alisĂ© leurs ouvrages, quâils les entretiennent et surveillent correctement, et, dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale, quâils respectent la rĂ©glementation applicable. Des sanctions administratives sont possibles en vertu du code de lâĂ©nergie ou du code de lâenvironnement en cas de mĂ©connaissance de leurs obligations par les exploitants. Elles interviennent sur dĂ©cision du prĂ©fet aprĂšs une mise en demeure prĂ©alable restĂ©e sans effet. Pour en savoir plus sur les ouvrages hydrauliques et les rĂšgles de sĂ©curitĂ© qui leur sont applicables DĂ©veloppement de la filiĂšre hydroĂ©lectrique Les Programmations pluriannuelles de l'Ă©nergie Les Programmations Pluriannuelles de lâĂnergie PPE sont des outils de pilotage de la politique Ă©nergĂ©tique créés par la loi relative Ă la transition Ă©nergĂ©tique pour la croissance verte. La premiĂšre PPE sâĂ©talait sur les pĂ©riodes 2016-2019 et 2019-2023. Une nouvelle PPE a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©e PPE 2 sur les pĂ©riodes 2019-2023 et 2023-2028 et a remplacĂ© la prĂ©cĂ©dente sur leur zone de chevauchement. La PPE de mĂ©tropole continentale sur la pĂ©riode 2019-2028 a Ă©tĂ© adoptĂ©e dĂ©finitivement le 21 mars 2020. Elle fixe notamment des objectifs quantitatifs et des orientations relatives Ă lâĂ©nergie hydroĂ©lectrique Augmenter le parc de lâordre de 200 MW d'ici 2023 et de 900 Ă 1 200 MW d'ici 2028, qui devrait permettre une production supplĂ©mentaire de lâordre de 3 Ă 4 TWh dont environ 60 % par l'optimisation d'amĂ©nagements existants ; Optimiser la production et la flexibilitĂ© du parc hydroĂ©lectrique, notamment au-travers de surĂ©quipements et de lâinstallation de centrales hydroĂ©lectriques sur des barrages existants non-Ă©quipĂ©s ; Mettre en place un dispositif de soutien Ă la rĂ©novation des centrales autorisĂ©es entre 1 MW et MW ; Lancer lâoctroi de nouvelles concessions sur quelques sites dont le potentiel aura Ă©tĂ© identifiĂ© ; Poursuivre les appels dâoffres pour la petite hydroĂ©lectricitĂ©, Ă raison de 35 MW par an ; Engager, au cours de la premiĂšre pĂ©riode de la PPE, les dĂ©marches permettant le dĂ©veloppement des STEP pour un potentiel de 1,5 GW identifiĂ© en vue des mises en service des installations entre 2030 et 2035. La PPE sâarticule avec les autres dĂ©marches stratĂ©giques, en particulier la stratĂ©gie nationale bas-carbone SNBC et les schĂ©mas rĂ©gionaux d'amĂ©nagement, de dĂ©veloppement durable et d'Ă©quilibre des territoires SRADDET qui ont pris la succession des SchĂ©mas rĂ©gionaux du climat, de lâair et de lâĂ©nergie SRCAE. Les schĂ©mas rĂ©gionaux de raccordement au rĂ©seau des Ă©nergies renouvelables S3REnR permettent quant Ă eux de rĂ©server, au bĂ©nĂ©fice des Ă©nergies renouvelables, pour une pĂ©riode de 10 ans, les capacitĂ©s de raccordement estimĂ©es nĂ©cessaires pour atteindre les objectifs fixĂ©s par les schĂ©mas rĂ©gionaux dĂ©finissant la politique Ă©nergĂ©tique Ă lâĂ©chelle rĂ©gionale. Ătude du potentiel hydroĂ©lectrique Dans le cadre de la Convention pour le dĂ©veloppement dâune hydroĂ©lectricitĂ© durable signĂ©e en 2010, un travail de normalisation des mĂ©thodes dâĂ©valuation et de convergence du potentiel hydroĂ©lectrique de crĂ©ation de nouveaux sites ou dâĂ©quipement de seuils existants a Ă©tĂ© menĂ© par la Direction GĂ©nĂ©rale de lâĂnergie et du Climat DGEC, la Direction de lâEau et de la BiodiversitĂ© DEB, les Directions RĂ©gionales de lâEnvironnement, de lâAmĂ©nagement et du Logement DREAL et les producteurs fĂ©dĂ©rĂ©s autour de lâUnion Française de lâĂlectricitĂ© UFE. Les rĂ©sultats de ce travail de convergence » sont disponibles dans le rapport Connaissance du potentiel hydroĂ©lectrique français â SynthĂšse » disponible ci-aprĂšs et sont synthĂ©tisĂ©s ci-dessous Potentiel hydroĂ©lectrique français selon lâĂ©tude de convergence de 2013 Cours dâeau classĂ©s liste 1 Cours dâeau non classĂ©s Nouveaux ouvrages Env. 2180 MW ; 7,7 TWh Env. 660 MW ; 2,3 TWh Seuils existants Entre 260 et 470 MW ; de 0,9 Ă 1,7 TWh Cette Ă©tude de potentiel a contribuĂ© Ă la dĂ©finition des objectifs des premiĂšres PPE PPE 1 et 2. Dans le cadre de lâĂ©laboration des objectifs de la PPE 3 2024 -2033, une nouvelle Ă©tude du potentiel hydroĂ©lectrique sera menĂ©e pour mettre Ă jour les donnĂ©es de 2013, conformĂ©ment aux dispositions de lâarticle 89 I A de la Loi climat et rĂ©silience du 22 aoĂ»t 2021. Etude de convergence potentiel hydroĂ©lectrique PDF - Ko MĂ©canismes de soutien Ă la production hydroĂ©lectrique Dans certaines conditions, lâexploitation dâune installation hydroĂ©lectrique peut ne pas ĂȘtre rentable. Pour autant, pour contribuer Ă lâintĂ©gration des Ă©nergies renouvelables dans le mix Ă©nergĂ©tique français, il peut ĂȘtre nĂ©cessaire de leur apporter un soutien, notamment pour la petite hydroĂ©lectricitĂ© puissance infĂ©rieure Ă 10 MW. Le soutien aux installations autorisĂ©es peut se faire sous deux formes selon le principe du guichet ouvert, pour toute installation de moins de 1 MW, qui peut se voir attribuer un contrat dâobligation dâachat ou de complĂ©ment de rĂ©munĂ©ration en fonction de sa puissance et suivant quâil sâagisse dâune installation nouvelle ou rĂ©novĂ©e ; via des appels dâoffres organisĂ©s par la Commission de rĂ©gulation de lâĂ©nergie, pour les autres installations suivant des conditions particuliĂšres alors dĂ©finies dans les cahiers des charges. Les installations concĂ©dĂ©es peuvent Ă©galement faire lâobjet dâun soutien lorsque cela est nĂ©cessaire lors de lâoctroi de la concession, un complĂ©ment de rĂ©munĂ©ration peut ĂȘtre mis en place pour Ă©quilibrer lâexploitation des installations, si les prix de marchĂ© ne permettent pas une rentabilitĂ© de la concession. France Hydro ElectricitĂ© FHE ElectricitĂ© autonome française EAF RĂ©sultats des appels dâoffres pour dĂ©velopper des petites centrales hydroĂ©lectriques Les appels dâoffres pour le dĂ©veloppement de la petite hydroĂ©lectricitĂ© visent Ă favoriser la construction de nouvelles installations complĂštes barrage + centrale hydroĂ©lectrique, lâĂ©quipement de barrages ou de seuils existants, mais ne produisant pas Ă ce jour dâĂ©lectricitĂ©. Un premier appel dâoffres a Ă©tĂ© lancĂ© en 2016. Son succĂšs a montrĂ© que le dĂ©veloppement de la petite hydroĂ©lectricitĂ© Ă©tait compatible avec les enjeux environnementaux. 19 laurĂ©ats de ce premier appel Ă projets ont Ă©tĂ© dĂ©signĂ©s le 27 avril 2017, dont 4 projets sur des sites dâanciens moulins. Les laurĂ©ats reprĂ©sentent une capacitĂ© de 27 MW et pourront bĂ©nĂ©ficier dâun complĂ©ment de rĂ©munĂ©ration. Pour poursuivre cette dynamique, un nouvel appel dâoffres pluriannuel a Ă©tĂ© lancĂ© en 2017 pour 105 MW de nouvelles petites centrales hydroĂ©lectriques, rĂ©partis en trois pĂ©riodes de candidature de 35 MW en 2018, 2019 et 2020. Pour la premiĂšre pĂ©riode, 14 laurĂ©ats ont Ă©tĂ© dĂ©signĂ©s le 23 aoĂ»t 2018. Pour la deuxiĂšme pĂ©riode, 13 laurĂ©ats ont Ă©tĂ© dĂ©signĂ©s le 26 juin 2019. Pour la troisiĂšme pĂ©riode, 8 laurĂ©ats ont Ă©tĂ© dĂ©signĂ©s le 29 janvier 2021. La programmation pluriannuelle de lâĂ©nergie adoptĂ©e le 21 avril 2020 rĂ©affirme le soutien Ă la petite hydroĂ©lectricitĂ© et prĂ©voit la poursuite des appels dâoffres pour le dĂ©veloppement de nouvelles installations. Listes des laurĂ©ats du premier appel dâoffres pour le dĂ©veloppement de la petite hydroĂ©lectricitĂ© - 27/04/2017 PDF - Ko Listes des laurĂ©ats du second appel dâoffres â premiĂšre pĂ©riode de candidature â 23/08/2018 PDF - Ko Listes des laurĂ©ats du second appel dâoffres â deuxiĂšme pĂ©riode de candidature â 26/06/2019 PDF - Ko Listes des laurĂ©ats du second appel dâoffres â troisiĂšme pĂ©riode de candidature â 29/01/2021 PDF - Ko Listes des laurĂ©ats du second appel d'offres - quatriĂšme pĂ©riode de candidature - 29/07/ PDF - Ko Le Portail national de l'hydroĂ©lectricitĂ© Le portail national de lâhydroĂ©lectricitĂ© offre un accĂšs aux principaux documents de programmation nationaux et locaux utiles pour le dĂ©veloppement de projets hydroĂ©lectriques. Il comprend en particulier les schĂ©mas directeurs dâamĂ©nagement et de gestion des eaux SDAGE mentionnĂ©s Ă lâarticle L. 212-1 du code de lâenvironnement ; Les SDAGE les schĂ©mas dâamĂ©nagement et de gestion des eaux SAGE dĂ©finis Ă lâarticle L. 212-3 du code de lâenvironnement ; Les SAGE les listes de cours dâeau, parties de cours dâeau ou canaux Ă©tablies en application des 1° et 2° du I de l'article L. 214-17 du code de lâenvironnement ; les schĂ©mas rĂ©gionaux d'amĂ©nagement, de dĂ©veloppement durable et d'Ă©galitĂ© des territoires SRADDET mentionnĂ©s Ă l'article L. 4251-1 du code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales ; les schĂ©mas rĂ©gionaux de raccordement au rĂ©seau des Ă©nergies renouvelables S3REnR mentionnĂ©s Ă l'article L. 321-7 du code de lâĂ©nergie ; Les S3REnR les classements des cours d'eau et lacs Ă©tablis en application de l'article L. 2111-7 du code gĂ©nĂ©ral de la propriĂ©tĂ© des personnes publiques ; Segments du domaine public fluvial les Ă©valuations et identifications prĂ©vues pour l'Ă©lectricitĂ© d'origine hydraulique dans la programmation pluriannuelle de l'Ă©nergie en application des 3° et 4° de l'article L. 141-2 du code de lâĂ©nergie ; Les Programmations pluriannuelles de l'Ă©nergie les Ă©lĂ©ments d'information figurant dans l'Ă©valuation prĂ©vue au d du 6° de l'article 179 de la loi n° 2019-1479 du 28 dĂ©cembre 2019 de finances pour 2020. Rapport sur l'impact environnemental du budget de l'Ătat Biogaz Ănergies marines renouvelables
Lobligation de relogement est inscrite dans la loi : Le code de lâurbanisme (L.314-2) pour les opĂ©rations dâamĂ©nagement, le code de la construction et de lâhabitation en matiĂšre de police contre lâhabitat indigne (L.521- 3-1) font obstacle Ă des poursuites pĂ©nales du chef dâaide au sĂ©jour irrĂ©gulier.
Ă jour au 16 dĂ©cembre 2016 ĂlĂ©ments de jurisprudence rĂ©cente relative au droit des occupants en insalubritĂ© ou pĂ©ril La jurisprudence relative au droit des occupants lorsque les logements ou les hĂŽtels meublĂ©s font lâobjet dâinjonction, dâarrĂȘtĂ©s dâinsalubritĂ©, de pĂ©ril, de mesures de sĂ©curitĂ© sâenrichit de nombreux jugements et arrĂȘts qui donnent un Ă©clairage utile sur lâapplication de ces nouveaux textes CCH et suivants.
considérantqu'aux termes de l'article l 511 - 1 du code de la construction et de l'habitation : « le maire peut prescrire la réparation ou la démolition des murs, bùtiments ou édifices quelconques lorsqu'ils menacent ruine et qu'ils pourraient, par leur effondrement, compromettre la sécurité ou lorsque, d'une façon générale, ils n'offrent pas
Lâusage des armes en police municipale loi n°2017-258 du 28 fĂ©vrier 2017, relative Ă la sĂ©curitĂ© publique, dans un climat de terrorisme Ă©tend-elle lâusage des armes aux agents de police municipale ? Par son article 1 relatif aux rĂšgles dâusage des armes, il est créé lâarticle L. 511-5-1 du Code de la SĂ©curitĂ© IntĂ©rieure CSI Les agents de police municipale autorisĂ©s Ă porter une arme selon les modalitĂ©s dĂ©finies Ă l'article L. 511-5 peuvent faire usage de leurs armes dans les conditions prĂ©vues au premier alinĂ©a de l'article L. 435-1 et dans les cas prĂ©vus au 1° du mĂȘme article L. 435-1. »Soit Dans l'exercice de leurs fonctions et revĂȘtus de leur uniforme ou des insignes extĂ©rieurs et apparents de leur qualitĂ©, les agents de la police nationale et les militaires de la gendarmerie nationale peuvent, outre les cas mentionnĂ©s Ă l'article L. 211-9*, faire usage de leurs armes en cas d'absolue nĂ©cessitĂ© et de maniĂšre strictement proportionnĂ©e 1° Lorsque des atteintes Ă la vie ou Ă l'intĂ©gritĂ© physique sont portĂ©es contre eux ou contre autrui ou lorsque des personnes armĂ©es menacent leur vie ou leur intĂ©gritĂ© physique ou celles d'autrui »Selon lâarticle il est important de rappeler les modalitĂ©s de port dâarme I, les conditions dâusage avant lâextension II, lâextension III.Les modalitĂ©s de port dâarme Le port dâarme Les agents de police municipale peuvent ĂȘtre autorisĂ©s nominativement par le prĂ©fet de dĂ©partement, sur demande motivĂ©e du maire ou des maires lors dâun emploi par art. et suivants du CSI, Ă porter une arme, sous rĂ©serve de l'existence d'une convention de coordination des interventions avec les forces de sĂ©curitĂ© de l'Etat art. du CSI et suivants.Les catĂ©gories dâarme Les agents de police municipale peuvent ĂȘtre autorisĂ©s Ă porter les armes suivantes art. du CSI 1°, 3°, 6° et 8° de la catĂ©gorie B - a et b du 2° de la catĂ©gorie D - 3° de la catĂ©gorie conditions de dĂ©livrance du port dâarme Une formation prĂ©alable comprenant des enseignements thĂ©oriques et pratiques, dispensĂ©s par des moniteurs en modules, gĂ©nĂ©ral relatif Ă lâenvironnement juridique et relatif selon le type dâarme, encadrĂ©e par le centre national de la fonction publique territoriale et dispensĂ©e par des moniteurs de police une formation d'entrainement au maniement des armes fixĂ©e par le maire de la commune ou le prĂ©sident de l' comprenant au moins deux sĂ©ances par an d'entraĂźnement au maniement de l'arme ArrĂȘtĂ© du 14 avril 2017 relatif aux formations Ă l'armement des agents de police municipale. Les conditions dâusage art. 122-5 du Code pĂ©nal et R515-9 du CSI la lĂ©gitime dĂ©fense » Dans l'exercice de leurs fonctions et revĂȘtus des uniformes Aucune confusion nâest tolĂ©rĂ©e. La qualitĂ© de policier municipal doit ĂȘtre visible sans que lâagent ait besoin de lâannoncer et le fonctionnaire doit ĂȘtre en nĂ©cessitĂ© cause dâirresponsabilitĂ© pĂ©nale La Cour de cassation dans un arrĂȘt du 18 fĂ©vrier 2003 dĂ©finit ainsi lâabsolue nĂ©cessitĂ© il faut constater lâabsence de toute autre issue possible pour lâaccomplissement de la mission Crim. 18 fĂ©vr. 2003, Bull. crim. n° 41. La Cour europĂ©enne des droits de lâhomme nâa pas manquĂ© de le souligner, compte tenu de lâimportance du droit Ă la vie en temps de paix CEDH 27 fĂ©vr. 1995, McCann c. Royaume-Uni, req. DĂšs lors, si lâusage de lâarme nâest pas absolument nĂ©cessaire, les causes dâirresponsabilitĂ© pĂ©nale tirĂ©es de lâarticle 122-5 du code pĂ©nal ne peuvent trouver application. Dans le cas contraire, la solution inverse prĂ©vaut. Etait-il nĂ©cessaire de faire feu ou non ? Lâusage dâun autre moyen non lĂ©tal Ă©tait-il possible ?Lâusage proportionnĂ© La proportionnalitĂ© concerne les modalitĂ©s de lâusage dâune arme. Quelle arme utilisĂ©e ? Quelle partie du corps visĂ©e ? Nombre de coups de feu tirĂ© en cas dâusage dâarme lĂ©tale ?...Ces critĂšres sont apprĂ©ciĂ©s au cas par cas par les juridictions au vu des Ă©lĂ©ments dâ Ă la vie ou Ă lâintĂ©gritĂ© physiques contre soi-mĂȘme ou autrui Le droit Ă la vie et Ă la protection de son intĂ©gritĂ© physique ou celle dâun autre est un principe fondamental, notamment protĂ©gĂ© par lâarticle 2 de la Convention EuropĂ©enne de Sauvegarde des Droits de lâHomme et des LibertĂ©s nĂ©cessitĂ© absolue et lâusage de maniĂšre strictement proportionnĂ©e sont des circonstances cumulatives. Les principes de nĂ©cessitĂ© et de proportionnalitĂ© peuvent autoriser un tir mortel dĂšs le premier coup de feu si la vie du policier municipal ou dâun tiers en dĂ©pend.Pour rappel lâattaque doit ĂȘtre actuelle danger imminent, injustifiĂ©e interdite, rĂ©elle non putative, et la riposte doit ĂȘtre nĂ©cessaire aucun autre moyen pour se soustraire de lâagression, simultanĂ©e immĂ©diate, pas dâacte de vengeance, proportionnĂ©e Ă lâagression pas dâexcĂšs de riposte.La lĂ©gitime dĂ©fense est donc une cause dâirresponsabilitĂ© pĂ©nale dĂ©limitĂ©e. Et câest dans ce cadre juridique, que les policiers municipaux peuvent utiliser leur arme. Cette utilisation doit avoir comme objectif leur dĂ©fense ou celle dâautrui. Lâextension 1° Lorsque des atteintes Ă la vie ou Ă l'intĂ©gritĂ© physique sont portĂ©es contre eux ou contre autrui ou lorsque des personnes armĂ©es menacent leur vie ou leur intĂ©gritĂ© physique ou celles d'autrui » premiĂšre situation envisagĂ©e par le dĂ©cret du 28 fĂ©vrier 2017, relative Ă la sĂ©curitĂ© publique et seule situation applicable par les policiers municipaux.En sus des conditions dâusage habituelles dĂ©veloppĂ©es supra lorsque des atteintes Ă la vie ou Ă l'intĂ©gritĂ© physique sont portĂ©es contre eux ou contre autrui la une nouvelle condition intervient dĂ©sormais Menaces Ă la vie ou Ă lâintĂ©gritĂ© contre soi-mĂȘme ou autrui par personnes armĂ©es notion nouvelle. Le lĂ©gislateur vient lĂ renforcer la lĂ©gitime dĂ©fense aux menaces, notion absente avant mais pouvant ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme une prĂ©somption de lĂ©gitime menace Parole ou geste violents indiquant une intention hostile, une attitude agressive, un projet nuisible par atteinte aux personnes. Il faut dĂ©sormais comprendre que lorsque le policier municipale ou autrui sont menacĂ©s par un individu armĂ© et lorsque les menaces sont de nature Ă porter atteinte Ă la vie ou Ă lâintĂ©gritĂ© physique, le policier municipal peut alors, maintenant, lĂ©gitimement se dĂ©fendre. ArmĂ© Est une arme au sens pĂ©nal art. 132-75 du Code PĂ©nal tout objet conçu pour tuer ou blesser arme par nature, arme par destination, arme menaces et le port dâune arme sont des circonstances cumulatives lâune et lâautre.DĂ©sormais deux conditions dâusage des armes alternatives lâune ou lâautre sont autorisĂ©es par lâagent de police municipale, les atteintes Ă la vie ou lâintĂ©gritĂ© physique ou les menaces contre la vie ou lâintĂ©gritĂ© physique, contre lui ou contre nouvelle situation ne pose pas vĂ©ritablement de difficultĂ©. Il sâagit de celle oĂč les personnes et/ou les forces de lâordre sont menacĂ©es dans leur vie ou leur intĂ©gritĂ© physique par des personnes armĂ©es. NĂ©anmoins lâarticle R515-9 du CSI partie dĂ©ontologie nâa subi aucune modification, il ne mentionne que lâusage des armes rĂ©glementaires quâen Ă©tat de lĂ©gitime DELOBEL Service juridique SDPM_______________________________________________*Lâarticle du CSI dĂ©finit lâusage des armes Ă feu pour le maintien de lâordre. Le dĂ©cret n° 2012-2 du 2 janvier 2012 relatif aux conventions types de coordination en matiĂšre de police municipale prĂ©voit quâ en aucun cas il ne peut ĂȘtre confiĂ© Ă la police municipale des missions de maintien de lâordre ». Les agents de police municipale ne sont pas autorisĂ©s Ă utiliser leurs armes dans des situations dâattroupements hostiles, cet usage est la propriĂ©tĂ© exclusive des forces de sĂ©curitĂ© de lâEtat.
ArticleL511-1 Version en vigueur depuis le 01 janvier 2021 Modifié par Ordonnance n°2020-1144 du 16 septembre 2020 - art. 1 La police de la sécurité et de la salubrité des immeubles, locaux et installations est exercée dans les conditions fixées par le présent chapitre et précisées par décret en Conseil d'Etat.
Quelle est la rĂ©glementation en matiĂšre de prĂ©vention du risque incendie applicable en entreprise ? Tous les lieux de travail ne sont pas soumis Ă la mĂȘme rĂ©glementation en matiĂšre de prĂ©vention du risque incendie. La majoritĂ© dâentre eux sont soumis aux dispositions minimales prĂ©vues par le Code du travail. RĂ©gimes juridiques particuliers Certains Ă©tablissements, compte tenu de leurs caractĂ©ristiques accueil du public, activitĂ©s prĂ©sentant des dangers particuliers font lâobjet, lors de leur construction et de leur exploitation, de dispositions plus contraignantes concernant lâincendie. Il sâagit des Ă©tablissements recevant du public ERP et des immeubles de grande hauteur IGH application des rĂšgles issues du Code de la construction et de lâhabitation ; des Ă©tablissements classĂ©s ICPE installations classĂ©es pour la protection de lâenvironnement application des rĂšgles issues du Code de lâenvironnement. Dans ces Ă©tablissements soumis Ă des rĂ©gimes juridiques particuliers, la mise en place de services de sĂ©curitĂ© spĂ©cifiquement formĂ©s au risque liĂ© Ă lâincendie sâimpose agents de sĂ©curitĂ© incendie, pompiers.... Lors de lâutilisation des lieux de travail, les prioritĂ©s de lâemployeur sont la mise en sĂ©curitĂ© et lâĂ©vacuation des personnes prĂ©sentes sur le site. Le Code du travail prĂ©voit Ă cet effet, que lâemployeur prend les mesures nĂ©cessaires pour que tout commencement dâincendie puisse ĂȘtre rapidement et efficacement combattu dans lâintĂ©rĂȘt du sauvetage des travailleurs ». Les mesures dâinformation et Ă la formation permettant aux salariĂ©s de rĂ©agir en cas dâincendie sont adaptĂ©es aux caractĂ©ristiques de lâĂ©tablissement notamment en fonction de lâanalyse de risque et/ou de lâimportance de lâeffectifs. Les mesures prĂ©vues par le Code du travail sont des prescriptions minimales, elles peuvent ĂȘtre complĂ©tĂ©es par les prĂ©conisations de lâINRS voir la brochure Consignes de sĂ©curitĂ© incendie - Conception et plans associĂ©s Ă©vacuation et intervention » et par les rĂ©fĂ©rentiels de bonnes pratiques de sĂ©curitĂ© incendie APSAD Ă©laborĂ©s par les professionnels de la sĂ©curitĂ© et de lâassurance. Ces derniĂšres sont dâapplication volontaire mais les assureurs y font gĂ©nĂ©ralement rĂ©fĂ©rence dans les contrats couvrant le risque incendie en entreprise. Quel formalisme sâimpose Ă lâemployeur pour lâobligation dâinformation et de formation Ă lâincendie ? Dans toute entreprise, lâemployeur Ă lâobligation dâĂ©tablir, de diffuser et de porter Ă la connaissance des salariĂ©s, des instructions ou une consigne de sĂ©curitĂ© incendie. Lâinformation gĂ©nĂ©rale porte sur les consignes de sĂ©curitĂ© incendie et les instructions dâĂ©vacuation ainsi que sur l'identitĂ© des personnes chargĂ©es de les mettre en Ćuvre ». Pour les Ă©tablissements dans lesquels peuvent se trouver occupĂ©es ou rĂ©unies habituellement plus de 50 personnes, ainsi que ceux dans lesquels, quelle que soit leur importance, sont manipulĂ©es et mises en Ćuvre des matiĂšres inflammables, une consigne de sĂ©curitĂ© incendie doit ĂȘtre Ă©tablie et affichĂ©e de maniĂšre trĂšs apparente dans chaque local oĂč lâeffectif est supĂ©rieur Ă 5 personnes ; dans chaque local oĂč sont stockĂ©es des matiĂšres explosives ou inflammables ; dans chaque local ou dans chaque dĂ©gagement desservant un groupe de locaux dans les autres cas. La consigne de sĂ©curitĂ© incendie indique le matĂ©riel d'extinction et de secours qui se trouve dans le local ou Ă ses abords ; les personnes chargĂ©es de mettre ce matĂ©riel en action ; pour chaque local, les personnes chargĂ©es de diriger l'Ă©vacuation des travailleurs et Ă©ventuellement du public ; les mesures spĂ©cifiques liĂ©es Ă la prĂ©sence de personnes handicapĂ©es, et notamment le nombre et la localisation des espaces d'attentes sĂ©curisĂ©s ou des espaces Ă©quivalents ; les moyens d'alerte ; les personnes chargĂ©es d'aviser les sapeurs-pompiers dĂšs le dĂ©but d'un incendie ; l'adresse et le numĂ©ro d'appel tĂ©lĂ©phonique du service de secours de premier appel, en caractĂšres apparents ; le devoir, pour toute personne apercevant un dĂ©but d'incendie, de donner l'alarme et de mettre en Ćuvre les moyens de premier secours, sans attendre l'arrivĂ©e des travailleurs spĂ©cialement dĂ©signĂ©s. La consigne incendie doit ĂȘtre communiquĂ©e Ă lâinspection du travail. Pour les autres Ă©tablissements non soumis Ă lâĂ©laboration dâune consigne, le Code du travail indique que lâemployeur Ă©tablit des instructions permettant dâassurer lâĂ©vacuation rapide de la totalitĂ© des occupants ou leur Ă©vacuation diffĂ©rĂ©e, lorsque celle-ci est rendue nĂ©cessaire, dans des conditions de sĂ©curitĂ© maximale. Quels sont les salariĂ©s concernĂ©s par la formation incendie ? Quelle que soit lâactivitĂ© de lâentreprise, lâensemble du personnel doit ĂȘtre formĂ© Ă donner lâalerte ; utiliser les moyens de premier secours afin de pouvoir faire face Ă un dĂ©but dâincendie, notamment manipulation des extincteurs ; exĂ©cuter les diffĂ©rentes manĆuvres nĂ©cessaires mise en sĂ©curitĂ© du poste de travail, Ă©vacuation totale ou diffĂ©rĂ©e si nĂ©cessaire... En complĂ©ment de ces mesures minimales et compte tenu de lâorganisation des mesures de prĂ©vention de lâincendie mises en place par lâemployeur dans certaines entreprises prĂ©sentant des risques plus importants dâincendie, certains salariĂ©s seront spĂ©cifiquement formĂ©s Ă mettre en Ćuvre des Ă©quipements complexes de lutte contre incendie les Ă©quipiers de premiĂšre et seconde intervention EPI et ESI ; mettre en sĂ©curitĂ© certaines installations coupures des Ă©nergies, stockage de gaz... les Ă©quipiers dâintervention technique EIT ; encadrer lâĂ©vacuation ou mettre en sĂ©curitĂ© les travailleurs et tous les occupants les Ă©quipiers dâĂ©vacuation guide file, serre file..... Sans les mentionner explicitement, le Code du travail fait rĂ©fĂ©rence Ă des travailleurs spĂ©cialement dĂ©signĂ©s » par lâemployeur. Ces dĂ©nominations techniques figurent dans les rĂ©fĂ©rentiels de bonnes pratiques de sĂ©curitĂ© incendie qui dĂ©taillent les missions de ces Ă©quipes dâintervention. Il est souhaitable que ces personnes soient formĂ©es par un salariĂ© appartenant Ă lâentreprise, dĂ©signĂ© par lâemployeur en raison de ces compĂ©tences en la matiĂšre et prĂ©sentant une bonne connaissance des lieux de travail et de lâactivitĂ© de lâentreprise. Quels sont les documents associĂ©s Ă ces consignes ? Les rĂ©fĂ©rentiels de bonnes pratiques recommandent Ă©galement dâassocier certains documents Ă ces consignes. Il sâagit notamment du plan dâĂ©vacuation destinĂ© Ă aider les personnes Ă se repĂ©rer sur le site et Ă anticiper le bon itinĂ©raire dâĂ©vacuation cheminements de secours, espaces dâattentes sĂ©curisĂ©s... associĂ© aux points de rassemblement ; du plan dâintervention destinĂ© aux services de secours extĂ©rieurs identification des zones et Ă©quipements Ă risques, des espaces dâattente sĂ©curisĂ©s, des ouvrants en façade rĂ©servĂ©s aux Ă©quipes de secours .... Quels sont les exercices pratiques obligatoires en matiĂšre de prĂ©vention incendie ? La rĂ©alisation dâessais de matĂ©riel et dâexercices pratiques sont indispensables pour vĂ©rifier lâefficience du dispositif mis en place par lâemployeur. La consigne de sĂ©curitĂ© incendie, obligatoire dans la majoritĂ© des entreprises, prĂ©voit des essais et exercices pratiques afin de - reconnaĂźtre le signal dâalarme ; - localiser les espaces dâattentes sĂ©curisĂ©s ; - savoir se servir des moyens de premiers secours extincteurs notamment ; - exĂ©cuter les diffĂ©rentes manĆuvres nĂ©cessaires. En lâabsence de prĂ©cisions du Code du travail, lâINRS recommande - dâeffectuer des exercices dâĂ©vacuation tous les 6 mois au minimum ; - dâadapter le renouvellement des essais de manipulation des extincteurs, de 6 mois Ă 3 ans, en fonction des risques incendie de lâentreprise et en veillant Ă ce que tout nouvel embauchĂ© soit rapidement formĂ©. Pour Ă©tablissements dans lesquels la consigne de sĂ©curitĂ© incendie nâest pas obligatoire, aucune prĂ©cision concernant ces essais et exercices ne figure dans le Code du travail, toutefois, il est recommandĂ© dâappliquer les mĂȘmes pĂ©riodicitĂ©s.
ArticleR511-1. Lorsque les désordres affectant des murs, bùtiments ou édifices sont susceptibles de justifier le recours à la procédure prévue à l'article L. 511-2, le maire en informe, en joignant tous éléments utiles en sa possession, le propriétaire et les titulaires de droits réels immobiliers et les invite à présenter leurs
Histoires âș Histoire de la France âș vous ĂȘtes iciHistoire de la FranceChronologie abrĂ©gĂ©e de lâhistoire de FranceSommaire LâAntiquitĂ© Le Moyen Ăge LâAncien RĂ©gime La RĂ©volution Le XIXe siĂšcle Le XXe siĂšcle LâAntiquitĂ©-1200PremiĂšres pĂ©nĂ©trations en France de peuples venus de lâEst-600Fondation de Marseille par les Grecs-600, -400Les Celtes sâinstallent massivement en Gaule-390Les Gaulois font le siĂšge de Rome-122PremiĂšres colonies romaines dans la partie mĂ©ridionale de la Gaule Provence, Narbonne-52La Gaule est conquise par les Romains. Ă AlĂ©sia, VercingĂ©torix remet ses armes Ă Jules CĂ©sar. Fondation de LutĂšce Paris177PremiĂšres persĂ©cutions des chrĂ©tiens en Gaule253-275PremiĂšres invasions des Barbares venus de lâest406Seconde vague dâinvasions barbares451Les Huns sont repoussĂ©s Ă Troyes476Prise de Rome. Fin de lâempire romain dâOccidentđ Allez plus loin ! đ Histoire dĂ©taillĂ©e de la France Ă lâ Moyen Ăge481Clovis, couronnĂ© roi des Francs496Conversion de Clovis au christianisme511-751Les rois mĂ©rovingiens751Les Carolingiens PĂ©pin le Bref, roi des Francs768Charlemagne, roi des Francs800Charlemagne, couronnĂ© empereur843Charles le Chauve, roi de Francia Occidentalis885Les Vikings font le siĂšge de Paris911CrĂ©ation du DuchĂ© de Normandie987Hugues Capet, premier roi de la dynastie des CapĂ©tiens1066ConquĂȘte de lâAngleterre par Guillaume, duc de Normandie1095PremiĂšre croisade1154Henri II PlantagenĂȘt, roi dâAngleterre1229Saint Louis couronnĂ© roi de France1337DĂ©but de la Guerre de Cent Ans1347-1349ĂpidĂ©mie de peste noire1420TraitĂ© de Troyes, la France est remise au roi dâAngleterre1412-1431Vie de Jeanne dâArc1427Couronnement de Charles VII Ă Reims1453Fin de la Guerre de Cent-Ansđ Allez plus loin ! đ Histoire dĂ©taillĂ©e de la France au Moyen Ăge. Histoire de la littĂ©rature française le Moyen RĂ©gime1495DĂ©buts des guerres dâItalie1515François 1er, roi de France1534Jacques Cartier au Canada1560RĂ©gence de Catherine de MĂ©dicis1572Massacre des protestants Ă Paris le jour de la Saint BarthĂ©lemy1594Henri IV, roi de France1598Edit de Nantes1610Assassinat dâHenri IV1617Louis XIII, roi de France, assume le pouvoir aprĂšs la rĂ©gence de Marie de MĂ©dicis1624Richelieu, conseiller du roi1628SiĂšge de la Rochelle, restrictions des clauses de lâĂdit de Nantes1635Fondation de lâAcadĂ©mie française par Richelieu1642Mort de Richelieu1643Mort de Louis XIII, rĂ©gence dâAnne dâAutriche1648TraitĂ© de Westphalie1642 â 1652RĂ©voltes de la Fronde1652DĂ©but du rĂšgne de Louis XIV1661Mort de Mazarin, Louis XIV assume seul le pouvoir1685RĂ©vocation de lâĂdit de Nantes1714La France concĂšde une partie du Canada Ă lâAngleterre1715Mort de Louis XIV, rĂ©gence de Philippe dâOrlĂ©ans1728DĂ©but du rĂšgne de Louis XV1748LâEsprit des Lois de Montesquieu1751DĂ©but de la publication de lâEncyclopĂ©die de Diderot1756Essai sur les mĆurs et lâEsprit des nations de Voltaire1762Le Contrat social, de Jean-Jacques Rousseau1763Fin de la guerre de Sept Ans, la France perd lâInde et le Canada1774Mort de Louis XV, dĂ©but du rĂšgne de Louis XVIđ Allez plus loin ! đ Histoire dĂ©taillĂ©e de la France LâAncien RĂ©gime. Histoire de la littĂ©rature française du XVIe siĂšcle. Histoire de la littĂ©rature française du XVIIe siĂšcle lâĂąge baroque â lâĂąge classique. Histoire de la littĂ©rature française du XVIIIe RĂ©volution1788Louis XVI convoque les Ătats GĂ©nĂ©raux1789 20 juin Serment du Jeu de Paume 9 juillet AssemblĂ©e constituante 14 juillet Prise de la Bastille 26 aoĂ»t dĂ©claration des droits de lâhomme et du citoyen1791Juin Louis XVI est capturĂ© Ă Varennes dans sa tentative de fuir le pays1792 Avril dĂ©claration de guerre contre lâAutriche et la Prusse, son alliĂ©e 10 aoĂ»t la Convention remplace lâAssemblĂ©e constituante, Louis XVI est dĂ©posĂ© 10 septembre victoire des troupes rĂ©volutionnaires Ă Valmy 11 septembre proclamation de la RĂ©publique1793 21 janvier Louis XVI est exĂ©cutĂ© Mai dĂ©but de la Terreur1794 Mars-avril exĂ©cution des HĂ©bertistes puis des Indulgents, dont font partie Danton et Desmoulins. Robespierre prend la tĂȘte du ComitĂ© de salut public 27 aoĂ»t exĂ©cution de Robespierre et fin de la Convention montagnarde1795Octobre le Directoire succĂšde Ă la Convention1796-1798Campagnes militaires victorieuses de Bonaparte en Autriche, Italie et Egypte1799 Novembre Coup dâEtat de Bonaparte 18 Brumaire. Le Consulat succĂšde au Directoiređ Allez plus loin ! đ Histoire dĂ©taillĂ©e de la France La XIXe siĂšcle1800Bonaparte nommĂ© premier consul1801Concordat1802Constitution de lâAn X Bonaparte consul Ă vie »1804 Code civil, Banque de France NapolĂ©on 1er, empereur1805DĂ©faite Ă Trafalgar ; Victoire Ă Austerlitz1808DĂ©but du blocus continental contre lâAngleterre1812Campagne de Russie1814 DĂ©faite de Leipzig, NapolĂ©on dĂ©portĂ© Ă lâĂźle dâElbe Louis XVIII, roi de France1815 Les Cent Jours 20 mars-20 juin DĂ©faite Ă Waterloo ; NapolĂ©on exilĂ© Ă Sainte HĂ©lĂšne DĂ©but de la Restauration1824Charles X, roi de France1830 JournĂ©es des Trois Glorieuses 27, 28, 29 juillet Louis Philippe, roi de France, dĂ©but de la monarchie de Juillet Prise dâAlger1840 DĂ©but du ministĂšre Guizot1848 24 fĂ©vrier Abdication de Louis Philippe, proclamation de la Seconde RĂ©publique Suffrage universel uniquement pour les hommes Novembre Louis-NapolĂ©on Bonaparte, prĂ©sident de la RĂ©publique1852NapolĂ©on III, dĂ©but du Second Empire1857ConquĂȘte de lâAlgĂ©rie1870 Guerre franco-prussienne, NapolĂ©on III prisonnier Ă Sedan. Proclamation de la TroisiĂšme RĂ©publique 4 septembre1871 FĂ©vrier Insurrection de la Commune de Paris 10 mai TraitĂ© de Francfort, la France perd lâAlsace et la Lorraine 18 mai Ăcrasement de la Commune1882MinistĂšre Jules Ferry DĂ©cret sur lâenseignement gratuit, laĂŻc et obligatoire de 6 Ă 13 ans1883Protectorat sur lâAnnam Vietnam1887CrĂ©ation de lâIndochine française1898Affaire Dreyfus Zola publie Jâaccuse ! » dans lâAuroređ Allez plus loin ! đ Histoire dĂ©taillĂ©e de la France Le XIXe XXe siĂšcle1900Intervention des troupes françaises contre la rĂ©volte des Boxers en Chine1905SĂ©paration de lâĂglise et de lâĂtat1913-1920Raymond PoincarĂ©, prĂ©sident de la RĂ©publique1914DĂ©but de la PremiĂšre Guerre mondiale1916FĂ©vrier-novembre bataille de Verdun191811 novembre signature de lâarmistice1919TraitĂ© de Versailles lâAlsace et la Lorraine rendues Ă la France1923 Premier ministĂšre PoincarĂ© jusquâen 1924 Occupation de la Ruhr par les troupes françaises1926-1929Second ministĂšre PoincarĂ©1929DĂ©but de la construction de la ligne Maginot entre la France et lâAllemagne1931DĂ©but de la rĂ©cession Ă©conomique jusquâen 19351936Front Populaire ministĂšre de LĂ©on Blum1938Septembre signature par le prĂ©sident Daladier des Accords de Munich1939DĂ©claration de guerre Ă lâAllemagne1940 Mai lâAllemagne envahit la France au nord de la ligne Maginot 18 juin depuis Londres, appel du gĂ©nĂ©ral de Gaulle Ă la rĂ©sistance des Français 22 juin signature de lâarmistice par le gouvernement PĂ©tain 11 juillet proclamation du gouvernement de Vichy 24 octobre PĂ©tain rencontre Hitler Ă Montoire1941PremiĂšres arrestations de Juifs194211 novembre la zone libre au sud est envahie par les Allemands1944 6 juin DĂ©barquement alliĂ© en Normandie 15 AoĂ»t DĂ©barquement des troupes franco-amĂ©ricaines en Provence 25 aoĂ»t LibĂ©ration de Paris1945Gouvernement Provisoire de la RĂ©publique Française GPRF, dirigĂ© par le gĂ©nĂ©ral de Gaulle lois sur le vote des femmes, les nationalisations, crĂ©ation de la SĂ©curitĂ© Sociale1946Janvier DĂ©mission du gĂ©nĂ©ral de Gaulle du GPRF1951CrĂ©ation de la CommunautĂ© EuropĂ©enne du Charbon et de lâAcier CECA, ancĂȘtre de lâUnion EuropĂ©enne1954 7 mai DĂ©faite de DiĂȘn BiĂȘn Phu, fin de lâoccupation française en Indochine 1er novembre dĂ©but de la guerre dâAlgĂ©rie1956IndĂ©pendances du Maroc et de la Tunisie1957TraitĂ© de Rome crĂ©ation de la Commission Economique et EuropĂ©enne CEE1958 Juin de Gaulle revient au pouvoir Ă la suite de la crise algĂ©rienne Septembre adoption de la nouvelle constitution de la Ve RĂ©publique DĂ©cembre de Gaulle est Ă©lu prĂ©sident de la RĂ©publique1962IndĂ©pendance de lâAlgĂ©rie Ă la suite des accords dâEvian1963 De Gaulle sâoppose Ă lâentrĂ©e de la Grande Bretagne dans la CEE TraitĂ© dâAmitiĂ© franco-allemand1966Retrait de la France du dispositif militaire de lâOTAN1968ĂvĂ©nements de mai1969 Avril dĂ©mission du gĂ©nĂ©ral de Gaulle. Georges Pompidou est Ă©lu prĂ©sident de la RĂ©publique en juin1971François Mitterrand, premier secrĂ©taire du Parti Socialiste PS1973Premier choc pĂ©trolier1974ValĂ©ry Giscard dâEstaing, prĂ©sident de la RĂ©publique. Jacques Chirac est premier ministre jusquâen 19761979PremiĂšres Ă©lections du Parlement europĂ©en1981François Mitterrand, prĂ©sident de la RĂ©publique1986PremiĂšre cohabitation Jacques Chirac, premier ministre1988Réélection de François Mitterrand Ă la prĂ©sidence de la RĂ©publique1995Jacques Chirac, prĂ©sident de la RĂ©publique réélu en 2002đ Allez plus loin ! đ Histoire dĂ©taillĂ©e de la France Le XXe connexes LumiĂšre sur⊠Histoire de la littĂ©rature française. Histoire de la langue française. LâAcadĂ©mie française. Quâest-ce que la littĂ©rature ? Histoire rĂ©sumĂ©e du vocabulaire français. Louis XIV ; le Roi-Soleil. Auteurs de livresRecherche sur le site
1Les installations classĂ©es pour la protection de lâenvironnement sont rĂ©gies par les articles L.511-1 et suivants du Code de l'environnement 2 Les termes suivis d'un astĂ©risque font l'objet d'une dĂ©finition dans les dispositions gĂ©nĂ©rales § VIII. REGLEMENT â TOME 1 44 Plan local dâurbanisme de Paris Article UG.2 - Occupations et utilisations du sol soumises Ă des
For the purposes of this chapter, unless the context otherwise requiresâ 2 AffiliateThe term âaffiliateâ means a person that directly or indirectly owns or controls, is owned or controlled by, or is under common ownership or control with, another person. For purposes of this paragraph, the term âownâ means to own an equity interest or the equivalent thereof of more than 10 percent. 3 Amateur stationThe term âamateur stationâ means a radio station operated by a duly authorized person interested in radio technique solely with a personal aim and without pecuniary interest. 4 AT&T Consent DecreeThe term âAT&T Consent Decreeâ means the order entered August 24, 1982, in the antitrust action styled United States v. Western Electric, Civil Action No. 82â0192, in the United States District Court for the District of Columbia, and includes any judgment or order with respect to such action entered on or after August 24, 1982. 5 Bell operating companyThe term âBell operating companyââA means any of the following companies Bell Telephone Company of Nevada, Illinois Bell Telephone Company, Indiana Bell Telephone Company, Incorporated, Michigan Bell Telephone Company, New England Telephone and Telegraph Company, New Jersey Bell Telephone Company, New York Telephone Company, U S West Communications Company, South Central Bell Telephone Company, Southern Bell Telephone and Telegraph Company, Southwestern Bell Telephone Company, The Bell Telephone Company of Pennsylvania, The Chesapeake and Potomac Telephone Company, The Chesapeake and Potomac Telephone Company of Maryland, The Chesapeake and Potomac Telephone Company of Virginia, The Chesapeake and Potomac Telephone Company of West Virginia, The Diamond State Telephone Company, The Ohio Bell Telephone Company, The Pacific Telephone and Telegraph Company, or Wisconsin Telephone Company; and C does not include an affiliate of any such company, other than an affiliate described in subparagraph A or B. 13 Construction permitThe term âconstruction permitâ or âpermit for constructionâ means that instrument of authorization required by this chapter or the rules and regulations of the Commission made pursuant to this chapter for the construction of a station, or the installation of apparatus, for the transmission of energy, or communications, or signals by radio, by whatever name the instrument may be designated by the Commission. 14 Consumer generated mediaThe term âconsumer generated mediaâ means content created and made available by consumers to online websites and services on the Internet, including video, audio, and multimedia content. 19 Electronic messaging serviceThe term âelectronic messaging serviceâ means a service that provides real-time or near real-time non-voice messages in text form between individuals over communications networks. 22 Great Lakes AgreementThe term âGreat Lakes Agreementâ means the Agreement for the Promotion of Safety on the Great Lakes by Means of Radio in force and the regulations referred to therein. 23 HarborThe term âharborâ or âportâ means any place to which ships may resort for shelter or to load or unload passengers or goods, or to obtain fuel, water, or supplies. This term shall apply to such places whether proclaimed public or not and whether natural or artificial. 24 Information serviceThe term âinformation serviceâ means the offering of a capability for generating, acquiring, storing, transforming, processing, retrieving, utilizing, or making available information via telecommunications, and includes electronic publishing, but does not include any use of any such capability for the management, control, or operation of a telecommunications system or the management of a telecommunications service. 25 Interconnected VoIP serviceThe term âinterconnected VoIP serviceâ has the meaning given such term under section of title 47, Code of Federal Regulations, as such section may be amended from time to time. 27 Interoperable video conferencing serviceThe term âinteroperable video conferencing serviceâ means a service that provides real-time video communications, including audio, to enable users to share information of the userâs choosing. 28 Interstate communicationThe term âinterstate communicationâ or âinterstate transmissionâ means communication or transmission A from any State, Territory, or possession of the United States other than the Canal Zone, or the District of Columbia, to any other State, Territory, or possession of the United States other than the Canal Zone, or the District of Columbia, B from or to the United States to or from the Canal Zone, insofar as such communication or transmission takes place within the United States, or C between points within the United States but through a foreign country; but shall not, with respect to the provisions of subchapter II of this chapter other than section 223 of this title, include wire or radio communication between points in the same State, Territory, or possession of the United States, or the District of Columbia, through any place outside thereof, if such communication is regulated by a State commission. 33 Mobile serviceThe term âmobile serviceâ means a radio communication service carried on between mobile stations or receivers and land stations, and by mobile stations communicating among themselves, and includes A both one-way and two-way radio communication services, B a mobile service which provides a regularly interacting group of base, mobile, portable, and associated control and relay stations whether licensed on an individual, cooperative, or multiple basis for private one-way or two-way land mobile radio communications by eligible users over designated areas of operation, and C any service for which a license is required in a personal communications service established pursuant to the proceeding entitled âAmendment to the Commissionâs Rules to Establish New Personal Communications Servicesâ GEN Docket No. 90â314; ET Docket No. 92â100, or any successor proceeding. 34 Mobile stationThe term âmobile stationâ means a radio-communication station capable of being moved and which ordinarily does move. 35 Network elementThe term ânetwork elementâ means a facility or equipment used in the provision of a telecommunications service. Such term also includes features, functions, and capabilities that are provided by means of such facility or equipment, including subscriber numbers, databases, signaling systems, and information sufficient for billing and collection or used in the transmission, routing, or other provision of a telecommunications service. 36 Non-interconnected VoIP serviceThe term ânon-interconnected VoIP serviceââA means a service thatâi enables real-time voice communications that originate from or terminate to the userâs location using Internet protocol or any successor protocol; and 38 Operator B âOperatorâ on a foreign ship means, for the purpose of part II of subchapter III of this chapter, a person holding a certificate as such of the proper class complying with the provisions of the radio regulations annexed to the International Telecommunication Convention in force, or complying with an agreement or treaty between the United States and the country in which the ship is registered. 39 PersonThe term âpersonâ includes an individual, partnership, association, joint-stock company, trust, or corporation. 40 Radio communicationThe term âradio communicationâ or âcommunication by radioâ means the transmission by radio of writing, signs, signals, pictures, and sounds of all kinds, including all instrumentalities, facilities, apparatus, and services among other things, the receipt, forwarding, and delivery of communications incidental to such transmission. 41 Radio officer B âRadio officerâ on a foreign ship means, for the purpose of part II of subchapter III of this chapter, a person holding at least a first or second class radiotelegraph operatorâs certificate complying with the provisions of the radio regulations annexed to the International Telecommunication Convention in force. 43 Radiotelegraph auto alarmThe term âradiotelegraph auto alarmâ on a ship of the United States subject to the provisions of part II of subchapter III of this chapter means an automatic alarm receiving apparatus which responds to the radiotelegraph alarm signal and has been approved by the Commission. âRadiotelegraph auto alarmâ on a foreign ship means an automatic alarm receiving apparatus which responds to the radiotelegraph alarm signal and has been approved by the government of the country in which the ship is registered Provided, That the United States and the country in which the ship is registered are parties to the same treaty, convention, or agreement prescribing the requirements for such apparatus. Nothing in this chapter or in any other provision of law shall be construed to require the recognition of a radiotelegraph auto alarm as complying with part II of subchapter III of this chapter, on a foreign ship subject to part II of subchapter III of this chapter, where the country in which the ship is registered and the United States are not parties to the same treaty, convention, or agreement prescribing the requirements for such apparatus. 44 Rural telephone companyThe term ârural telephone companyâ means a local exchange carrier operating entity to the extent that such entityâA provides common carrier service to any local exchange carrier study area that does not include eitherâi any incorporated place of 10,000 inhabitants or more, or any part thereof, based on the most recently available population statistics of the Bureau of the Census; or ii any territory, incorporated or unincorporated, included in an urbanized area, as defined by the Bureau of the Census as of August 10, 1993; D has less than 15 percent of its access lines in communities of more than 50,000 on February 8, 1996. 45 Safety conventionThe term âsafety conventionâ means the International Convention for the Safety of Life at Sea in force and the regulations referred to therein. 46 ShipA The term âshipâ or âvesselâ includes every description of watercraft or other artificial contrivance, except aircraft, used or capable of being used as a means of transportation on water, whether or not it is actually afloat. B A ship shall be considered a passenger ship if it carries or is licensed or certificated to carry more than twelve passengers. D A passenger is any person carried on board a ship or vessel except 1 the officers and crew actually employed to man and operate the ship, 2 persons employed to carry on the business of the ship, and 3 persons on board a ship when they are carried, either because of the obligation laid upon the master to carry shipwrecked, distressed, or other persons in like or similar situations or by reason of any circumstance over which neither the master, the owner, nor the charterer if any has control. 47 StateThe term âStateâ includes the District of Columbia and the Territories and possessions. 48 State commissionThe term âState commissionâ means the commission, board, or official by whatever name designated which under the laws of any State has regulatory jurisdiction with respect to intrastate operations of carriers. 49 Station licenseThe term âstation licenseâ, âradio station licenseâ, or âlicenseâ means that instrument of authorization required by this chapter or the rules and regulations of the Commission made pursuant to this chapter, for the use or operation of apparatus for transmission of energy, or communications, or signals by radio, by whatever name the instrument may be designated by the Commission. 50 TelecommunicationsThe term âtelecommunicationsâ means the transmission, between or among points specified by the user, of information of the userâs choosing, without change in the form or content of the information as sent and received. 53 Telecommunications serviceThe term âtelecommunications serviceâ means the offering of telecommunications for a fee directly to the public, or to such classes of users as to be effectively available directly to the public, regardless of the facilities used. 54 Telephone exchange serviceThe term âtelephone exchange serviceâ means A service within a telephone exchange, or within a connected system of telephone exchanges within the same exchange area operated to furnish to subscribers intercommunicating service of the character ordinarily furnished by a single exchange, and which is covered by the exchange service charge, or B comparable service provided through a system of switches, transmission equipment, or other facilities or combination thereof by which a subscriber can originate and terminate a telecommunications service. 55 Telephone toll serviceThe term âtelephone toll serviceâ means telephone service between stations in different exchange areas for which there is made a separate charge not included in contracts with subscribers for exchange service. 58 United StatesThe term âUnited Statesâ means the several States and Territories, the District of Columbia, and the possessions of the United States, but does not include the Canal Zone. 59 Wire communicationThe term âwire communicationâ or âcommunication by wireâ means the transmission of writing, signs, signals, pictures, and sounds of all kinds by aid of wire, cable, or other like connection between the points of origin and reception of such transmission, including all instrumentalities, facilities, apparatus, and services among other things, the receipt, forwarding, and delivery of communications incidental to such transmission. June 19, 1934, ch. 652, title I, § 3, 48 Stat. 1065; May 20, 1937, ch. 229, § 2, 50 Stat. 189; Proc. No. 2695, eff. July 4, 1946, 11 7517, 60 Stat. 1352; July 16, 1952, ch. 879, § 2, 66 Stat. 711; Apr. 27, 1954, ch. 175, §§ 2, 3, 68 Stat. 64; Aug. 13, 1954, ch. 729, § 3, 68 Stat. 707; Aug. 13, 1954, ch. 735, § 1, 68 Stat. 729; Aug. 6, 1956, ch. 973, § 3, 70 Stat. 1049; Pub. L. 89â121, § 1, Aug. 13, 1965, 79 Stat. 511; Pub. L. 90â299, § 2, May 3, 1968, 82 Stat. 112; Pub. L. 97â259, title I, § 120b, Sept. 13, 1982, 96 Stat. 1097; Pub. L. 103â66, title VI, § 6002b2Bii, Aug. 10, 1993, 107 Stat. 396; Pub. L. 104â104, § 3a, c, Feb. 8, 1996, 110 Stat. 58, 61; Pub. L. 105â33, title III, § 3001b, Aug. 5, 1997, 111 Stat. 258; Pub. L. 111â260, title I, § 101, Oct. 8, 2010, 124 Stat. 2752. Editorial Notes References in TextThis chapter, referred to in text, was in the original âthis Actâ, meaning act June 19, 1934, ch. 652, 48 Stat. 1064, known as the Communications Act of 1934, which is classified principally to this chapter. For complete classification of this Act to the Code, see section 609 of this title and Tables. For definition of Canal Zone, referred to in pars. 28 and 58, see section 3602b of Title 22, Foreign Relations and Intercourse. Part II of subchapter III of this chapter, referred to in pars. 38, 41, and 43, is classified to section 351 et seq. of this title. Part III of subchapter III of this chapter, referred to in par. 38A, is classified to section 381 et seq. of this title. CodificationIn par. 41A, âchapter 71 of title 46â substituted for âthe Act of May 12, 1948 46 229aâhâ on authority of Pub. L. 98â89, § 2b, Aug. 26, 1983, 97 Stat. 598, section 1 of which enacted Title 46, Shipping. References to Philippine Islands in pars. 28 and 58 of this section omitted on authority of Proc. No. 2695, issued pursuant to section 1394 of Title 22, Foreign Relations and Intercourse, which proclamation recognized the independence of Philippine Islands as of July 4, 1946. Proc. No. 2695 is set out under section 1394 of Title 22. Amendments2010âPub. L. 111â260 added pars. 53 to 59, reordered pars. in alphabetical order based on headings of pars., and renumbered pars. as so reordered, resulting in the renumbering of pars. 1 to 59 as pars. 2 to 13, 15 to 17, 20 to 24, 26, 28 to 35, 37 to 59, 1, 14, 18, 19, 25, 36, and 27, respectively. 1997âPars. 49 to 52. Pub. L. 105â33 added par. 49 and redesignated former pars. 49 to 51 as 50 to 52, respectively. 1996âPub. L. 104â104, § 3a2, c4â8, redesignated subsecs. a to ff as pars. 1 to 32, respectively, realigned margins, inserted headings and words âThe termâ, changed capitalization, added pars. 33 to 51, reordered pars. in alphabetical order based on headings of pars., and renumbered pars. as so reordered. Subsecs. e, n. Pub. L. 104â104, § 3c1, redesignated clauses 1 to 3 as A to C, respectively. Subsec. r. Pub. L. 104â104, § 3a1, designated existing provisions as subpar. A and added subpar. B. Subsec. w. Pub. L. 104â104, § 3c2, redesignated pars. 1 to 5 as subpars. A to E, respectively. Subsecs. y, z. Pub. L. 104â104, § 3c3, redesignated pars. 1 and 2 as subpars. A and B, respectively. 1993âSubsec. n. Pub. L. 103â66, § 6002b2BiiI, inserted cl. 1 designation and added cls. 2 and 3. Subsec. gg. Pub. L. 103â66, § 6002b2BiiII, struck out subsec. gg which read as follows â Private land mobile serviceâ means a mobile service which provides a regularly interacting group of base, mobile, portable, and associated control and relay stations whether licensed on an individual, cooperative, or multiple basis for private one-way or two-way land mobile radio communications by eligible users over designated areas of operation.â 1982âSubsec. n. Pub. L. 97â259, § 120b2, substituted âa radioâ for âthe radioâ, inserted âor receiversâ after âbetween mobile stationsâ, and inserted provision that âmobile serviceâ includes both one-way and two-way radio communication services. Subsec. gg. Pub. L. 97â259, § 120b1, added subsec. gg. 1968âSubsec. e. Pub. L. 90â299 inserted âother than section 223 of this titleâ after âsubchapter II of this chapterâ. 1965âSubsec. w5. Pub. L. 89â121, § 11, added par. 5. Subsec. x. Pub. L. 89â121, § 12, among other changes, substituted âradiotelegraph auto alarmâ for âauto-alarmâ wherever appearing, âreceiving apparatus which responds to the radiotelegraph alarm signalâ for âreceiverâ in two places, and âcountry in which the ship is registeredâ for âcountry to which the ship belongsâ and for âcountry of originâ. Subsec. y. Pub. L. 89â121, § 13, struck out âqualified operatorâ from pars. 1 and 2, and substituted âcountry in which the ship is registeredâ for âcountry to which the ship belongsâ. Subsec. z. Pub. L. 89â121, § 14D, E, added subsec. z and redesignated former subsec. z as aa. Subsec. aa. Pub. L. 89â121, § 14A, D, redesignated former subsec. z as aa and former subsec. aa as bb. Subsecs. bb to dd. Pub. L. 89â121, § 14A, redesignated former subsecs. aa to cc as bb to dd and former subsec. dd as ee. Subsec. ee. Pub. L. 89â121, § 14A, B, redesignated former subsec. dd as ee, and repealed former subsec. ee which defined âexisting installationâ. Subsecs. ff, gg. Pub. L. 89â121, § 14B, C, redesignated subsec. gg as ff and repealed former subsec. ff which defined ânew installationâ. 1956âSubsec. y2. Act Aug. 6, 1956, substituted âparts II and III of subchapter III of this chapterâ for âpart II of subchapter III of this chapterâ. 1954âSubsec. e. Act Apr. 27, 1954, § 2, obviated any possible construction that the Commission is empowered to assert common-carrier jurisdiction over point-to-point communication by radio between two points within a single State when the only possible claim that such an operation constitutes an interstate communication rests on the fact that the signal may traverse the territory of another State. Subsec. u. Act Apr. 27, 1954, § 3, inserted reference to clauses 3 and 4 of section 152b of this title. Subsecs. ee, ff. Act Aug. 13, 1954, ch. 729, added subsecs. ee and ff. Subsec. gg, âGreat Lakes Agreementâ. Act Aug. 13, 1954, ch. 735, added another subsec. ee which for purposes of codification was designated subsec. gg. 1952âSubsecs. bb to dd. Act July 16, 1952, added subsecs. bb to dd. 1937âSubsecs. w to aa. Act May 20, 1937, added subsecs. w to aa. Statutory Notes and Related Subsidiaries Effective Date of 1956 AmendmentAmendment by act Aug. 6, 1956, effective Mar. 1, 1957, see section 4 of act Aug. 6, 1956, set out as an Effective Date note under section 381 of this title. Effective Date of 1954 AmendmentAmendment by act Aug. 13, 1954, ch. 735, effective Nov. 13, 1954, see section 6 of act Aug. 13, 1954, set out as an Effective Date note under section 507 of this title. Effective Date of 1952 AmendmentSection 19 of act July 16, 1952, provided that âThis Act [enacting section 1343 of Title 18, Crimes and Criminal Procedure, amending this section and sections 154, 155, 307 to 312, 315, 316, 319, 402, 405, 409, and 410 of this title, and enacting provisions set out as notes under this section and section 609 of this title] shall take effect on the date of its enactment [July 16, 1952], butââ1 Insofar as the amendments made by this Act to the Communications Act of 1934 [this chapter] provide for procedural changes, requirements imposed by such changes shall not be mandatory as to any agency proceeding as defined in the Administrative Procedure Act [see sections 551 et seq. and 701 et seq. of Title 5, Government Organization and Employees] with respect to which hearings have been commenced prior to the date of enactment of this Act [July 16, 1952]. â2 The amendments made by this Act to section 402 of the Communications Act of 1934 [section 402 of this title] relating to judicial review of orders and decisions of the Commission shall not apply with respect to any action or appeal which is pending before any court on the date of enactment of this Act [July 16, 1952].â Limitation on LiabilityPub. L. 111â260, § 2, Oct. 8, 2010, 124 Stat. 2751, provided that âa In General.âExcept as provided in subsection b, no person shall be liable for a violation of the requirements of this Act [see Short Title of 2010 Amendment note set out under section 609 of this title] or of the provisions of the Communications Act of 1934 [47 151 et seq.] that are amended or added by this Act with respect to video programming, online content, applications, services, advanced communications services, or equipment used to provide or access advanced communications services to the extent such personââ1 transmits, routes, or stores in intermediate or transient storage the communications made available through the provision of advanced communications services by a third party; or â2 provides an information location tool, such as a directory, index, reference, pointer, menu, guide, user interface, or hypertext link, through which an end user obtains access to such video programming, online content, applications, services, advanced communications services, or equipment used to provide or access advanced communications services. âb Exception.âThe limitation on liability under subsection a shall not apply to any person who relies on third party applications, services, software, hardware, or equipment to comply with the requirements of this Act or of the provisions of the Communications Act of 1934 that are amended or added by this Act with respect to video programming, online content, applications, services, advanced communications services, or equipment used to provide or access advanced communications services.â Proprietary TechnologyPub. L. 111â260, § 3, Oct. 8, 2010, 124 Stat. 2752, provided that âNo action taken by the Federal Communications Commission to implement this Act [see Short Title of 2010 Amendment note set out under section 609 of this title] or any amendment made by this Act shall mandate the use or incorporation of proprietary technology.â Great Lakes AgreementThe Great Lakes Agreement, referred to in this section, relates to the bilateral Agreement for the Promotion of Safety on the Great Lakes by Means of Radio, signed at Ottawa, Canada, Feb. 21, 1952; entered into force Nov. 13, 1954, 3 UST 4926. A subsequent agreement for Promotion of Safety on the Great Lakes by Means of Radio, 1973, was signed at Ottawa, Canada, Feb. 26, 1973, and entered into force May 16, 1975, 25 UST 935. Safety ConventionThe United States was a party to the International Convention for the Safety of Life at Sea, signed at London May 31, 1929, entered into force as to the United States, Nov. 7, 1936, 50 Stat. 1121, 1306. For subsequent International Conventions for the Safety of Life at Sea to which the United States has been a party, see section 1602 of Title 33, Navigation and Navigable Waters, and notes thereunder. DefinitionsPub. L. 113â200, title I, § 112, Dec. 4, 2014, 128 Stat. 2066, provided that âIn this title [amending sections 325, 338, 534, and 543 of this title and enacting provisions set out as notes under sections 325, 338, and 534 of this title]â1 Appropriate congressional committees.âThe term appropriate congressional committeesâ means the Committee on Energy and Commerce and the Committee on the Judiciary of the House of Representatives and the Committee on Commerce, Science, and Transportation and the Committee on the Judiciary of the Senate. â2 Commission.âThe term Commissionâ means the Federal Communications Commission.â Pub. L. 111â260, title II, § 206, Oct. 8, 2010, 124 Stat. 2776, provided that âIn this title [amending sections 303, 330, and 613 of this title and enacting provisions set out as notes under sections 303 and 613 of this title]â1 Advisory committee.âThe term Advisory Committeeâ means the advisory committee established in section 201 [47 613 note]. â2 Chairman.âThe term Chairmanâ means the Chairman of the Federal Communications Commission. â3 Commission.âThe term Commissionâ means the Federal Communications Commission. â4 Emergency information.âThe term emergency informationâ has the meaning given such term in section of title 47, Code of Federal Regulations. â5 Internet protocol.âThe term Internet protocolâ includes Transmission Control Protocol and a successor protocol or technology to Internet protocol. â6 Navigation device.âThe term navigation deviceâ has the meaning given such term in section of title 47, Code of Federal Regulations. Pub. L. 105â33, title III, § 3001a, Aug. 5, 1997, 111 Stat. 258, provided that âExcept as otherwise provided in this title [enacting section 337 of this title, amending this section and sections 303, 309, and 923 to 925 of this title, enacting provisions set out as notes under sections 254, 309, and 925 of this title, and repealing provisions set out as a note under section 309 of this title], the terms used in this title have the meanings provided in section 3 of the Communications Act of 1934 47 153, as amended by this section.â Pub. L. 104â104, § 3b, Feb. 8, 1996, 110 Stat. 61, provided that âExcept as otherwise provided in this Act [see Short Title of 1996 Amendment note set out under section 609 of this title], the terms used in this Act have the meanings provided in section 3 of the Communications Act of 1934 47 153, as amended by this section.â
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Selonla loi, les employeurs doivent afficher ces renseignements aux endroits visibles, afin de permettre aux employĂ©s de les consulter facilement, et aux endroits oĂč les renseignements attireront le regard des employĂ©s. Ce tableau rĂ©sume les exigences en matiĂšre d'affichage pour chaque administration. Les exigences particuliĂšres, comme
superKARINErien a redire le top1Parfait pour surélever un meuble,MENAELParfait pour surélever un meuble, fiable et solide5Produit solide pour le rangementBOUTHEINAProduit solide pour le rangement5FragileBRIGITTELes pas de vis en plastique ne sont pas solides2Simple, rapide et efficaceMIKESimple, rapide et efficace5P satisfaireJEAN-GARDYtrÚs satisfaire5TrÚs bon rapport qualité prixnadiaTrÚs bon rapport qualité prix4SuperCLAIRESuper5TrÚs utileAYMELINETrÚs utile5Mis sur meuble kallax ParfaitMARCMis sur meuble kallax Parfait5Je suis rarement deçue parIRENEJe suis rarement deçue par les articles que j' finition au meuble, et facile à monter5TrÚs bienAlexTrÚs bien5ParfaitLAZIZParfait5Beau designDOROTHEEBeaux, solides et utilisables sur tous les meubles. Je les ai achetés pour les caissons METOD et pour changer les pieds d'un meuble TV5Pieds pour meubles à casiersTHERESEExistent en trois hauteurs. Acheté les plus petits, qui répondent parfaitement à mes attentes. Discrets, simples et néanmoins
Irak. duwc9vs5dx.pages.dev/173duwc9vs5dx.pages.dev/320duwc9vs5dx.pages.dev/236duwc9vs5dx.pages.dev/530duwc9vs5dx.pages.dev/755duwc9vs5dx.pages.dev/921duwc9vs5dx.pages.dev/106duwc9vs5dx.pages.dev/503duwc9vs5dx.pages.dev/148
article l 511 1 du code de la construction