Livraisongratuite dès 25 € d'achats. Tout sur New-York 1997 - Ernest Borgnine - Lee Van Cleef, DVD Zone 2 et toute l'actualité en Dvd et Blu-ray.
New York 1997 Escape from New York, 1981 est certainement l’un des films les plus iconiques des années 80, et un grand succès populaire du cinéma d’action qui confirma le talent de John Carpenter, trois ans après Halloween. Ce film d’anticipation imagine l’île de Manhattan transformée en pénitencier à haute sécurité, dans une Amérique devenue un régime autoritaire et policier, en proie à un taux record de criminalité. Un célèbre ennemi public, Snake Plissken, accepte en échange de sa grâce une mission commando ramener vivant le Président des États-Unis, après le crash dans Manhattan de l’avion Air Force One détourné par un groupuscule révolutionnaire. Il n’a que 24 heures pour y parvenir. Commence alors une course contre la montre dans une ville fantôme peuplée de hordes de criminels pour la plupart retournés à l’état sauvage, sur laquelle règne le Duc, redoutable chef de gang. New York 1997 se présente sous la forme d’un compte à rebours qui se déroule entièrement la nuit. Carpenter respecte l’unité de lieu et de temps et livre un film sans aucun temps mort. L’action non-stop se mêle à une utilisation parfaite des décors urbains emblématiques de l’île de Manhattan tombée en ruines le World Trade Center sur le toit duquel Plissken atterrit en planeur, le Grand Central Station transformé en repaire du Duc, les différents ponts minés pour empêcher les prisonniers de s’enfuir… Avec l’aide du jeune James Cameron en charge des modèles réduits et des effets spéciaux Carpenter parvient à créer des plans d’ensembles spectaculaires de ce Manhattan QHS, et donne à son film une ampleur visuelle extraordinaire malgré un budget qui n’est pas celui d’une superproduction de science-fiction. Cela confère au film une ambiance de série B de luxe. Le talent de Carpenter à composer des images dynamiques dans le format large Panavision, son sens du rythme et du montage ne sont pas étranger à cette étonnante réussite esthétique. Après avoir lancé la mode du slasher » et remis au goût du jour un cinéma fantastique atmosphérique avec Fog, Carpenter lance la mode de la science-fiction post-apocalyptique, en même temps que George Miller Mad Max en 1979, et sa suite en 1982. Le film s’inscrit dans la tradition d’un cinéma futuriste catastrophiste, où les plaies de l’époque contemporaine pollution, insécurité, chômage sont décuplées jusqu’à décrire un monde invivable. Mais contrairement à Soleil vert de Richard Fleischer, Carpenter opte pour un style emprunté à la bande dessinée, à la littérature pulp et surtout au western italien, principale référence de New York 1997. Carpenter prend aussi un alibi futuriste pour exagérer la violence urbaine et un état de déréliction morale déjà exprimée dans des grands films new-yorkais de la décennie précédente comme Un justicier dans la ville de Michael Winner ou Les Guerriers de la nuit de Walter Hill. La projection dans un futur proche encourage Carpenter à exagérer la dimension carnavalesque de son film, avec la description d’une jungle humaine crasseuse et une esthétique de la récupération propice à des outrances vestimentaires et décoratives. Kurt Russell s’amuse dans la défroque de Snake Plissken et démontre des talents d’imitateur vocal en reprenant les intonations de Clint Eastwood dans les westerns de Sergio Leone. Autour de lui, Carpenter réunit une belle distribution de character actors » qui sont autant d’hommages au cinéma de Sam Peckinpah Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton et Sergio Leone Lee Van Cleef. On a souvent loué les qualités de New York 1997 assimilé à un pur exercice de style en oubliant que le projet de Carpenter s’inscrit dans un contexte politique qui le relit à d’autres films contestataires de la fin des années 70 et du début des années 80. La première mouture du scénario de Carpenter date de 1976 et fut écrit dans la foulée du scandale du Watergate. Le portrait peu flatteur que dresse Carpenter du président des Etats-Unis interprété par Donald Pleasence est vraisemblablement inspiré par Richard Nixon. La description de Manhattan en gigantesque pénitencier à ciel ouvert n’est pas sans évoquer l’évacuation de la capitale du Cambodge, Phnom Pen, transformée en prison d’état par les Khmer rouges, six ans avant la sortie du film. La mission de sauvetage racontée par le film fait également écho au fiasco de l’opération commando Eagle Claw » d’avril 1980 au cours de laquelle des soldats américains échouèrent à libérer les otages détenus en Iran. Le mauvais esprit anarchisant de Snake Plissken, son mépris pour toute forme d’autorité rejoint celui de son créateur. A l’instar des films de George A. Romero et David Cronenberg réalisés à la même époque, New York 1997 propose un commentaire critique sur la société nord-américaine et les risques de dérive fascisante. Carpenter allait retrouver une verve subversive encore plus agressive en réalisant Invasion Los Angeles The Live en 1988. Reprise en salles le mercredi 19 décembre, distribué par Splendor Films. Disponible également en Steelbook 4K Ultra HD + 2 BD et en Blu-ray haute définition, édité par Studiocanal.

NEWYORK 1997. CC FRISSON 20.40 FILM . Par Isabelle Regnier . Publié le 13 février 2010 à 13h10 - Mis à jour le 13 février 2010 à 13h10 . Temps de Lecture 1 min. Ajouter aux favoris. Ajouter

Du 7 au 14 juin, Arte rediffuse trois classiques du cinéaste américain John Carpenter, ainsi qu'un documentaire consacré à "Big John". "Radical, nihiliste, scabreux, culte - bienvenue dans l'univers de John Carpenter !", voilà l'annonce de diffusion du cycle John Carpenter, du 7 au 14 juin. Arte met à l'honneur le cinéaste américain - un des maîtres de la science-fiction et de l'horreur - et rediffuse trois de ses plus grands films. À commencer par New-York 1997, dès ce lundi 7, à 20h55 - suivi d'un portrait du réalisateur à 22h30. Ce documentaire - comprenant des extraits de films et des entretiens avec de nombreuses personnalités - s'intitule Big John et part à la découverte de l'univers très particulier de Carpenter. Il est déjà visible sur Prince des ténèbres sera lui diffusé le jeudi 10 juin à minuit et pour finir, Invasion Los Angeles, le lundi 14 à 22h25. John Carpenter ''J'aimerais beaucoup retrouver Kurt Russell'' Fort de son succès à sa sortie en 1981, New-York 1997 est resté un film culte du cinéma d'action. Trois ans après Halloween, il marque la cinquième réalisation de Carpenter. Le cinéaste s'est par ailleurs inspiré du Scandale du Watergate - survenu en 1972 - qui a mené à la démission du président Nixon. L'histoire se déroule dans un futur proche à Manhattan. Le taux de criminalité ayant explosé, la ville devient une véritable prison à haute sécurité avec 3 millions de détenus. Le criminel Snake Plissken a vingt-quatre heures pour retrouver le président, capturé par des détenus à la suite d'un crash aérien sur l'île. Au casting, nous retrouvons Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine ou encore Donald Pleasence... Sorti en 1987, Prince des ténèbres, est un film d'horreur fantastique, mêlant les sujets ennemis science et religion. L'histoire est celle d'un prêtre, accompagné d'une équipe de scientifiques, détenteur d'une clef qui ouvre la crypte d'une église, dans laquelle se trouve un cylindre rempli d'un liquide vert. Cette intrusion a rapidement des répercussions. Avec Donald Pleasence également présent dans New York 1997, Victor Wong, Jameson Parker, Alice Cooper... Invasion Los Angeles sort en 1989. Film a petit budget, il est perçu comme une critique amère du système capitaliste et reçoit des critiques négatives à sa sortie, avant de devenir culte au fil du temps. L'intrigue est inspirée de la nouvelle de l'écrivain Ray Faraday Nelson, Les Fascinateurs. L'histoire suit John Nada, un ouvrier de chantier au chômage, qui est à la recherche d'un emploi. Embauché à Los Angeles, il s'installe dans le bidonville de son collègue Frank Armitage, dans lequel il découvre une paire de lunettes de soleil qui permet de voir des extraterrestres ayant l'apparence d'humains. Les créatures dirigent le monde et maîtrisent l'art de la propagande. Avec Roddy Piper, Meg Foster, Keith David, Peter Jason... L'univers John Carpenter, du 7 au 14 juin sur Arte et
Escapefrom New York is a 1981 American science fiction action film co-written, co-scored and directed by John Carpenter.It stars Kurt Russell, Lee Van Cleef, Donald Pleasence, Ernest Borgnine, Isaac Hayes, Adrienne Barbeau, and Harry Dean Stanton.. The film's storyline, set in the near-future world of 1997, concerns a crime-ridden United States,
Sortie le 24 juin 1981 Action, Science Fiction 1h40 De John Carpenter Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence, Isaac Hayes Synopsis En 1997, Manhattan est devenu une immense prison ghetto où vivent, en micro-société, trois millions de prisonniers. Victime d’un attentat, l’avion du Président des États-Unis s’écrase en plein Manhattan avec des documents ultra-secrets. Snake, un dangereux criminel, est chargé, en échange de sa grâce, de partir à la recherche du Président. Parachuté dans Manhattan, il dispose de vingt-quatre heures pour mener à bien sa mission… Sortie le 24 juin 1981 Action, Science Fiction 1h40 De John Carpenter Synopsis En 1997, Manhattan est devenu une immense prison ghetto où vivent, en micro-société, trois millions de prisonniers. Victime d’un attentat, l’avion du Président des États-Unis s’écrase en plein Manhattan avec des documents ultra-secrets. Snake, un dangereux criminel, est chargé, en échange de sa grâce, de partir à la recherche du Président. Parachuté dans Manhattan, il dispose de vingt-quatre heures pour mener à bien sa mission… Ce film n'est plus à l'affiche. Vous pourriez également aimer... UGC Family Voir la bande annonce Séances Inscrivez-vous dès maintenant ! Je souhaite recevoir l'actualité cinéma et les meilleures offres UGC. Renseignez votre cinéma favori pour tout savoir sur les films à l’affiche. Votre adresse email sera utilisée pour vous transmettre les emails Bons plans UGC » et à des fins statistiques, et ce uniquement par les services internes d'UGC CINÉ CITÉ et les sociétés en lien avec UGC CINÉ CITÉ pour la réalisation de la prestation. La communication de votre adresse email est facultative pour poursuivre votre navigation. Vous pouvez vous désinscrire, à tout moment, en cliquant sur le lien de désabonnement de votre email. Le responsable de traitement est UGC CINÉ CITÉ – SAS au capital de euros – 24 avenue Charles de Gaulle – 92200 Neuilly-sur-Seine – RCS DE NANTERRE Conformément à la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 Informatique et Libertés », modifiée en 2004, vous bénéficiez d'un droit d'accès, de rectification, de suppression, d'opposition, de limitation, de portabilité des données vous concernant, ainsi que de la possibilité de fournir des directives quant au sort des données après le décès en adressant votre demande par courrier à UGC Ciné Cité, Service Client, 24 avenue Charles de Gaulle, 92200 Neuilly-sur-Seine ou par mail à l'adresse suivante serviceclient Votre adresse email sera conservée pour une durée de 48h à compter de votre demande de désabonnement aux Bons plans UGC ».. UGC Direct Toutes vos séances sont là ! UGC illimité Abonnez-vous pour profiter de toutes les séances chez UGC et dans plus de 400 autres salles en France ! Découvrir les offres UGC illimité Abonnez-vous pour profiter de toutes les séances chez UGC et dans plus de 400 autres salles en France ! Découvrir les offres
NewYork 1997 Blu-ray. John Carpenter (réalisateur) Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Donald Pleasence fnac+. En 1997, Manhattan est devenu une immense prison ghetto où vivent, en micro-société, trois millions de prisonniers. Victime d'un attentat, l'avion du Président des Etats-Unis s'écrase en plein Manhattan avec des documents ultra New York 1997 Escape From New York Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine Année 1981 Durée 1 h 49 minutes Genre Fantastique US Titre original Escape From New York / Couleur / Dolby / Dans un 1997 dystopique où l'île de Manhattan, arrondissement de la ville de New York, est devenu un pénitencier, un redoutable criminel est chargé en vingt-quatre heures de sauver le Président des États-Unis, coincé là-bas, d'une mort atroce. John Carpenter a écrit le scénario de New York 1997 en 1976 dans la foulée du scandale du Watergate. Aucun studio n'en voulait parce que, selon Carpenter, il était trop violent, trop effrayant, trop bizarre ». Il a également été inspiré par le film Un justicier dans la ville, qui était très populaire à l'époque. Il n'était pas d'accord avec la philosophie de ce film, mais a beaucoup aimé la façon dont il transmet la sensation que New York est une sorte de jungle et voulait faire un film de science-fiction dans ce personnages Cronenberg et Romero sont des hommages aux réalisateurs David Cronenberg et George A. Romero. Réalisateurs Acteurs, personnages Kurt RussellSnake Plissken Lee Van CleefBob Hauk Donald Pleasancele Président des États-Unis Ernest BorgnineCabbie, le chauffeur de taxi Isaac Hayesle Duc de New York Harry Dean StantonHarold Brain » Helman Adrienne BarbeauMaggie Tom AtkinsRehme Charles Cyphersle secrétaire d'État Frank DoubledayRomero John StrobelCronenberg Ox BakerSlag George Buck FlowerL'ivrogne Jamie Lee Curtisla narratrice John DiehlPunk Production ScénarioJohn Carpenter, Nick Castle Directeur de la photographieDean Cundey, George D. Dodge MontageTodd C. Ramsay DécorsJoe Alves Décoration de plateauCloudia Rebar CostumesStephen Loomis ProductionAVCO Embassy Pictures, International Film Investors et Goldcrest Films International Producteur associéBarry Bernardi Directeur de productionAlan Levine MusiqueJohn Carpenter et Alan Howarth DistributionSplendor films NewYork 1997 Escape from New York Un film de John Carpenter Ecrit par John Carpenter et Nick Castle Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Harry Dean Stanton 1 h 39 Science-Fiction • Action Royaume-Uni États-Unis Né en janvier 1925 à Somerville dans l'État du New Jersey, Lee Van Cleef est l'une des figures du western spaghetti, notamment de quelques chefs d'œuvres de Sergio Leone. Après s'être engagé dans l'US Navy au cours de la seconde Guerre Mondiale, il fait du théâtre dans une compagnie d'armateurs. Lee Van Cleef débute sa carrière dans le cinéma en 1952, avec le film "Le train sifflera trois fois" de Stanley Kramer, ce dernier l'ayant repéré pour son physique unique. Ce western classique reçoit de nombreuses critiques positives et lance alors sa carrière de "méchant" du western. Suite à ce début de carrière lancé sur les chapeaux de roues, Lee Van Cleef joue de nombreux petits rôles de méchants, pour des personnages souvent muets. Il tourne ainsi dans les westerns "Passage interdit" en 1952, "Arena", "Victime du destin", "Qui est le traître ?" "L'Homme du Nebraska" et "Jack Slade le damné" en 1953. On le retrouve dans "Vengeance à l'aube" et "Seul contre tous" en 1954, avant de jouer dans des rôles plus majeurs comme dans "La Hache sanglante" la même année ou bien dans "Le Conquérant" du cinéaste Dick Powell, en 1956. Il joue ainsi au cours de ce tournage aux côtés de John Wayne. Il tourne ainsi dans une cinquantaine de westerns spaghettis et classiques durant les années 50, mais ne rencontre un sérieux succès uniquement avec le film "Bravados" du réalisateur Henry King, en 1958 et les séries de westerns pour la télévision "Zorro", "L'Homme à la carabine", "Au nom de la loi", "Bonanza" ou encore "Rintintin". En 1957, on retrouve l'acteur dans le célèbre western de John Sturges, "Règlements de comptes à Corral". En 1958, Lee Van Cleef est victime d'un accident de la route qui lui brise le genou il y a aussi des rumeurs d'alcoolisme. Les médecins lui indiquent alors ses faibles chances de pouvoir de nouveau monter à cheval. Désespérant de ne jamais dépasser le stade de troisième méchant dans les petits films, il se met à peindre, monte une entreprise de décoration d'intérieur et lorsqu'un type au nom loufoque lui demande de le rencontrer dans un hôtel, il s'y rend dans l'espoir de soumettre un devis pour des travaux de peinture. Au lieu de cela, Sergio Leone avait repéré Lee dans des émissions télévisées en Italie et il voulait son regard, il voulait son apparence et il ne voulait surtout pas qu'il joue le rôle du méchant, du moins au début. Cet épisode ne l'empêche pourtant pas de jouer en 1961 dans "Les Cavaliers de l'enfer", en 1962 dans le fameux chef d'œuvre "L'Homme qui tua Liberty Valance" et "La Conquête de l’Ouest" de John Ford. Cela étant, il n'apparaît que très épisodiquement lors de ces films. C'est en 1965 et dans le célèbre western "Et pour quelques dollars de plus" que Sergio Leone va choisir Lee Van Cleef pour jouer, avec brio, le personnage du colonel Douglas Mortimer. Le colonel Mortimer est un chasseur de primes s'alliant avec le Manchot Clint Eastwood pour tuer l'Indien Gian Maria Volontè et venger la mort de sa sœur. Suite à ce succès flagrant, il joue dans "Colorado" de Sergio Sollima avant de revenir dans l'un des westerns spaghetti les plus reconnus, le troisième film de la Trilogie du dollar "Le Bon, la Brute et le Truand" en 1966. Lee Van Cleef incarne alors le personnage de La Brute et réussi si bien que le monde entier l'identifiera comme ce seul personnage maléfique. Il tourne alors aux côtés de Clint Eastwood et Eli Wallach dans l'un des westerns les plus célèbres à ce jour. Suite à ces succès, il enchaîne les rôles principaux dans des westerns reconnus tels que "La mort était au rendez-vous" et "Le Dernier Jour de la colère" en 1967, "L'Enfer de la guerre" et "Pas de pitié pour les salopards" en 1968 ou encore "Barquero" en 1970. En 1974, on le retrouve dans "La Brute, le Colt et le Karaté". Au cours de sa carrière, Lee Van Cleef a joué dans pas moins de 70 westerns, sans compter les nombreuses séries télévisées réalisées avec succès. Malgré sa réussite tardive, il est l'un des acteurs emblématiques et inoubliables du genre western. Hors westerns, l'acteur est également connu pour ses apparitions dans des films comme "New York 1997", "Nom de code Oies sauvages", "Association criminelle" The Big Combo de Joseph H. Lewis ou encore "It Conquered the World" de Roger Corman. Il décède le 16 décembre 1989 à Oxnard, en Californie, à l'âge de 64 ans. Il a toujours semblé plus âgé, même quand il était jeune. "Naître avec une paire d'yeux de fouine est la meilleure chose qui me soit arrivée", disait Lee. Peut-être s'était-il fait à l'idée d'être un méchant, surtout depuis qu'il s'agissait plus d'un choix que d'un casting. Sa pierre tombale indiquait "Le meilleur des méchants" et c'est ce qu'il était. Tout comme Lee Van Cleef, vous aimez les montres à gousset ? Retrouvez les plus beaux modèles de style country-western depuis notre boutique. Retrouvez les tenues de Lee Van Cleef dans notre boutique Chapeaux de cowboy Chemises Vestes et gilets Ceintures western Cet article vous a plu ? N'hésitez pas à partager et à nous dire dans les commentaires vos suggestions d'acteurs de westerns pour les prochains articles. CompraNew york 1997. SPEDIZIONE GRATUITA su ordini idonei SPEDIZIONE GRATUITA su ordini idonei New york 1997: Amazon.it: Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence, Isaac Hayes, Harry Dean Stanton, Adrienne Barbeau, Season Hubley, Tom Atkins, Charles Cyphers, John Carpenter, Kurt Russell, Lee Van Cleef: Film Titre Original Escape From New York De John Carpenter Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Adrienne Barbeau Année 1981 Pays Etats-Unis Genre Science-Fiction Résumé En 1997, Manhattan est devenu une immense île-prison ou trois millions de détenus sont organisés en bandes rivales. A la suite d’un attentat, l’avion du Président des Etats-Unis se crashe dans le pénitencier. Le chargé de sécurité Bob Hauk décide d’envoyer un prisonnier pour le récupérer. Ce détenu s’appelle Snake Plissken. Lâché à l’intérieur, il doit se frayer un chemin en évitant les loubards et les cannibales qui peuplent Manhattan. Snake n’a que quelques heures pour récupérer le président, éviter un incident diplomatique catastrophique et surtout… désamorcer les mini-bombes qu’on lui a implantées dans le corps à son insu. Avis Quand John Carpenter fait un film, il y a toujours des messages sous-jacents. Ainsi, Prince des Ténèbres n’est pas seulement un film angoissant, mais il est aussi un tollé contre l’église et la religion au sens large. Invasion Los Angeles n’est pas seulement un film sur une invasion extraterrestre, mais une critique acerbe du système publicitaire et du gouvernement. The Thing n’est pas qu’un film d’horreur puisqu’il montre la paranoïa des gens face à l’inconnu, et la confiance qu’à l’homme en l’homme. Bref, tous ses films ont un côté politique et possède une critique cachée très virulente envers le système, ou encore envers la culture de masse. New-York 1997 ne fait pas exception à la règle puisqu’il va proposer un univers futuriste très pessimiste et une vision de l’armée ainsi que du gouvernement très négative. On est tous d’accord pour dire que New-York n’est pas devenu une cité forteresse, mais le film datant de 1981 reste assez visionnaire et propose quelque chose de très inventif et peut-être de prévisionnel pour un futur pas si éloigné. Et si on allait faire un tour du côté de Manhattan. Le scénario de ce métrage est assez simple dans sa structure, ainsi que dans son déroulement. Il est plus difficile d’accéder à la seconde lecture, avec le message que veut faire passer Carpenter. On va donc suivre le Président des Etats-Unis qui se crashe en plein dans la prison qu’est devenue l’île de Manhattan. Seulement, cette prison n’est soumise à aucune règle et la loi du plus fort règne en maître. Il devient urgent de libérer le président, d’autant plus qu’il détient un microfilm pour une conférence sur le devenir du monde. Les autorités décident alors d’envoyer un condamné, Snake Plissken, ancien vétéran de l’armée pour sauver le président. Sa récompense ? La liberté mais pour qu’il accepte, on lui injecte des micro-bombes dans le sang qui exploseront au bout de 24h s’il ne revient pas avec le président vivant. Dès le départ du film, le ton est donné. On aura droit à de l’action, mais on voit très rapidement le message de Carpenter le gouvernement est pourri jusqu’à la moelle. Le fait que Plissken se retrouve dos au mur est la démonstration d’un gouvernement tyrannique auquel le héros ne peut faire face. Encore une fois, les thèmes préférés du cinéaste sont agglutinés dans ce métrage avec une force impressionnante. Ainsi, la minorité s’oppose à la majorité et parfois, la nature humaine dispose de ressource insoupçonnée. L’autre point fort du film, c’est l’ambiance qui règne dans ce film. Dès le départ, on ressent une grande froideur dans les décors, presque une rigidité absolue du côté civilisé ». Seulement, le chaos qui règne de l’autre côté du mur donne un sentiment d’isolement alors qu’il y a plein de prisonniers. Les couleurs et les lumières sont finement choisis, puisque le maître utilise des tons bleus, et la seule lumière jaune qui est exploitée se retrouve sur le ring ou Snake combat le gros porc, donnant un sentiment d’urgence et de chaleur. Tout demeure très austère, d’un côté comme de l’autre et donne un sentiment de morosité, voir même de fin du monde assez délicate. Rends-moi mon œil ! Carpenter sait s’entourer d’acteurs de talent et la nature de ses films y est surement pour quelque chose. On retrouve des acteurs de talent et notamment deux acteurs qui ont déjà officié pour lui. En héros charismatique et musclé, nous avons droit à Kurt Russell, héros de The Thing qui campe un Snake Plissken qui se passe de commentaire. Incarnant une classe naturelle et une assurance déstabilisante, Kurt Russell est à fond dans son rôle et joue à la perfection le héros qui s’en les bat les couilles de tout et qui se retrouve confronté à une autorité qui ne lui plait pas. Son personnage inspirera d’ailleurs le jeu vidéo avec Metal Gear Solid et son héros borgne Solid Snake. On retrouve aussi Donald Pleasence, déjà vu dans Halloween et Prince des Ténèbres, qui joue ici le président des Etats-Unis et qui le fait avec une certaine froideur, donnant un personnage détestable que l’on aime voir souffrir. Il le joue formidablement bien mettant en avant un côté déshumanisé incroyable, et ajoutant un élan de haine envers ce personnage censé représenter le peuple avec son je m’en foutisme sur la fin du métrage. On retrouve aussi de grand acteur comme Lee Van Cleef, jouant le chef de l’armée, un salaud de première qui abuse de son pouvoir et qui se fiche des vies humaines, préférant le résultat et sa carrière. Là encore, rien à dire sur son jeu de comédien. Côté féminin, on n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent, si ce n’est Adrienne Barbeau et c’est un beau morceau, déjà vu dans The Fog, qui joue la pute de luxe d’un détenu et qui joue fort bien son rôle, se révélant à la fin. Seul le méchant m’a semblé peu convaincant, trop gentil et pas assez dans l’excès, qui se fait voler la vedette par Romero, son subalterne. On retrouve d’ailleurs deux références du cinéma avec Romero et Cronenberg. Reste aussi Cabbie, le regretté Ernest Borgnine et Brain, joué par Henry Dean Stanton, qui sont tous les deux formidables. Les effets spéciaux restent corrects et le film n’a pas trop vieilli. On aimera encore les quelques passages gores comme le coup de massue derrière le crâne ou encore la mort d’Adrienne Barbeau. Au final, New-York 1997 est certainement l’un des meilleurs films de Carpenter. Critiquant ouvertement le gouvernement et le système carcéral, Carpenter vise encore une fois des principes qui lui sont chers et les exploite de façon intelligente. S’entourant d’acteurs talentueux, avec un Kurt Russell habité par son rôle, Big John propose un film froid, nerveux et diablement efficace. Un film qu’il faut posséder si l’on aime Carpenter et si l’on est fan des films d’action intelligents avec un héros hautement charismatique. Note 16/20 [youtube] Biographie Lee Van Cleef sert dans la Marine américaine durant la Seconde Guerre mondiale. Il travaille sur des dragueurs de mines et sur des torpilleurs. Après la guerre, il se tourne vers la ESCAPE FROM NEW YORK Film américain John Carpenter, 1981 Kurt Russell, Lee Van Cleef, Isaac Hayes, Ernest Borgnine, Donald Pleasence AFFICHE FRANCAISE , 2015 Illustrateur Matt Ferguson Format 40×60 cm / 17×25 in Non entoilée / Bon état affiche roulée NON LINENBACKED . / Good condition rolled poster SctnP85.
  • duwc9vs5dx.pages.dev/253
  • duwc9vs5dx.pages.dev/376
  • duwc9vs5dx.pages.dev/597
  • duwc9vs5dx.pages.dev/899
  • duwc9vs5dx.pages.dev/742
  • duwc9vs5dx.pages.dev/495
  • duwc9vs5dx.pages.dev/155
  • duwc9vs5dx.pages.dev/533
  • duwc9vs5dx.pages.dev/834
  • lee van cleef new york 1997