Cettesemaine dans l’émission des diversités, nous ferons connaissance avec Moussa DIALLO représentant des sans-papiers des Mureaux. On découvrira le reportage d’Yvelines Première qui couvrait le sitting des personnes sans-papiers à Versailles. Dans la Question ZigoMatik cette semaine, nous vous avons demandé ce que vous pensiez de la
Publié le 04/02/2015 à 1859, Mis à jour le 04/02/2015 à 2227 Capture d'écran d'une caméra de surveillance publiée par le bureau du premier ministre turc le 4 février 2014. VIDÉO - Connu pour plusieurs petits délits, l'homme faisait l'objet d'une surveillance renforcée après une tentative de départ en Turquie précédée par plusieurs signes de Coulibaly n'a pas de lien avec le tueur de l'Hyper Cacher, Amédy Coulibaly, selon les premiers éléments de l'enquête. Il est entendu depuis mardi par les enquêteurs après l'agression au couteau de trois militaires qui montaient la garde devant un centre communautaire juif à Nice. Sa garde à vue a été prolongée de 24 heures mercredi. Lors de celle-ci, il a évoqué sa haine de la France, de la police, des militaires et des juifs, selon une source proche de l'enquête. S'exprimant très sporadiquement après avoir longtemps gardé le silence, il a aussi déclaré qu'à ses yeux, les musulmans étaient persécutés dans le monde. Le jeune homme doit être transféré jeudi après-midi» à Paris pour y poursuivre sa garde à vue. Voici les premiers éléments connus sur cet homme de 30 ans.● Une enfance au Val-FourréMoussa Coulibaly est né en 1984 à Mantes-la-Jolie, où il grandit dans la cité du Val-Fourré. Il est issu d'une famille polygame, selon Le Parisien. Peu d'éléments filtrent sur son profil, en dehors de son passé de petit délinquant. Tout juste sait-on qu'en 2012, il ouvre un magasin de matériel et pièces automobiles dans son quartier, dont il est le seul gérant. Interrogé par Le Parisien, un proche le décrit comme un gars cool, qui a toujours mené une vie tranquille, mais qui possède un esprit influençable».● Des condamnations de droits communL'homme était connu des services de police pour des petits délits de droit commun. Vol, outrage et rébellion, usage de drogues... Il est condamné à au moins six reprises entre 2006 et 2009 à des amendes et de la prison avec sursis une première fois à Versailles, puis cinq fois à Mulhouse.● Des signes récents de radicalisationEn décembre dernier, son comportement attire l'attention. Dans la salle de sport qu'il fréquente à Mantes-la-Jolie, il commence à faire du prosélytisme religieux, notamment auprès des femmes, note le personnel de l'établissement. Il est s'en prend également à un homme qui prend sa douche nu. A cette période, Moussa Coulibaly fréquente la mosquée de Trappes, située à une petite heure de route de Mantes-la-Jolie.● Une tentative de départ en TurquieAprès l'épisode de la salle de sport qui a été signalé aux services de renseignement locaux, Moussa Coulibaly réapparaît en Corse. Un employé d'agence de voyage a donné l'alerte après que l'homme lui a demandé un aller simple pour Ankara. Le salarié lui conseille de prendre l'aller-retour à Istanbul pour des raisons économiques. Moussa Coulibaly accepte, à la condition que le vol fasse absolument escale à Nice et à Rome avant de rejoindre la Turquie. La DGSI Direction générale de la sécurité intérieure est mise au courant. Elle craint un départ en Syrie. Faute de pouvoir l'empêcher de partir, elle demande à Ankara de le refouler à l'entrée du territoire turc. Il est intercepté à l'aéroport Ataturk d'Istanbul le 29 janvier, renvoyé en Italie et finalement interpellé à Nice par la DGSI. Les enquêteurs procèdent à une audition administrative. Il demande à retourner en Corse pour y rejoindre sa petite amie, dont il est incapable de citer le nom ou l'adresse. Mais faute d'éléments probants, il est relâché.● L'errance à NiceLes jours qui suivent, l'homme reste à Nice où il n'a ni racine, ni contact», précise le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve. Il est vu en compagnie de marginaux et boit beaucoup, selon les éléments de Nice Matin. Il séjourne à l'hôtel Azurea dans le quartier de la gare. Dans sa chambre, les enquêteurs retrouveront un texte écrit de sa main sur la religion, ainsi que de la monnaie turque, selon une source proche de l'enquête. Le 3 février, il est contrôlé sans titre de transport dans le tramway. Il est accompagné d'un homme de 43 ans, dont la garde à vue a été levée mercredi dans la soirée. Au départ réticent, Moussa Coulibaly accepte de payer l'amende avec un billet de 50 euros quand les agents le menacent d'appeler la police. Il a réglé, car, si la police venait, elle aurait découvert les couteaux. Pour moi, il avait prémédité son coup», estime le contrôleur interrogé par le quotidien régional.● L'attaque des trois militairesAprès l'incident, Moussa Coulibaly se dirige vers trois militaires qui montent la garde devant un immeuble qui abrite un centre communautaire juif. Il laisse tomber un sachet lorsqu'il passe à leur niveau. Alors que l'un d'entre eux s'apprête à lui porter assistance, l'homme sort un long couteau et le frappe au visage. Un second militaire est blessé à la main alors qu'il tente de le repousser. Puis il est facilement maîtrisé» par le troisième soldat, selon des sources militaires qui ont visionné les images d'une caméra de surveillance. L'enquête, menée par la section antiterroriste du parquet de Paris et la police judiciaire de Nice, devra notamment déterminer si Moussa Coulibaly savait que les militaires surveillaient le Consistoire israélite de Nice, Radio Shalom et une association israélite. Lorsde sa première audition, il dit n'avoir entendu aucun prénom. Après il cite Moussa ! » s'emporte Me Bouzrou pour qui cet homme, dont on ne sait rien et qui a TéhéranIQNA- Le point de vue de l’Imam Moussa Sadr sur la femme s’appuie sur cinq principes fondamentaux dont le premier est l’intérêt qu’il attache au Saint Coran comme source traitant la question de la femme. Dans son essai Femme et Religion », il extrait le point de vue du Saint Coran sur la femme. Selon l’Agence Internationale de Presse Coranique, ayant pour titre Place de la femme dans la pensée et l’action de l’Imam Moussa Sadr », la troisième des réunions organisée sous le titre Pensée et action », a été organisé, lundi 22 avril, par l’Institut Culturel de l’Imam Moussa Sadr, au siège de cet institut à Téhéran. L'hojatolislam Mahdi Mehrizi, écrivain en théologie contemporaine et chercheur actif sur la question de la femme est intervenu au cours de cette réunion. Imam Moussa Sadr est sérieusement entré dans les débats sur la question de la femme et est intervenu sur la question dans plusieurs réunions et conférences internationales », a-t-il dit. L'hojatolislam Mehrizi a expliqué Imam Moussa Sadr abordait la question de la femme dans des conditions tout à fait différentes des conditions actuelles, parce qu’il a parlé de la femme dans les années 1960 en dehors de l’Iran, dans des pays comme l’Algérie, le Maroc et le Liban. » Imam Moussa Sadr a parlé de la femme en dix ou douze discours, présentant l’honorable Zahra SA et l’honorable Zeynab SA comme des modèles à suivre » ; a-t-il ajouté. L'hojatolislam Mehrizi a souligné Le point de vue de l’Imam Moussa Sadr sur la femme s’appuie sur cinq principes fondamentaux que j’ai tiré des sources existantes. » Le Saint Coran est la première source dont a profité l’Imam Moussa Sadr dans l’étude de la question de la femme. Dans un essai intitulé Femme et Religion », il a extrait le point de vue du Saint Coran sur la femme et le considère comme sa première source dans la définition de la place de la femme », précise Mehrizi. Ce chercheur en théologie contemporaine a souligné La distinction entre l’Islam et les coutumes des musulmans est le second principe qui se voit chez Imam Moussa Sadr et celui-ci établissait une distinction entre ces deux catégories. » Ce qui se formait dans la vie des gens sous le nom de la religion n’est pas la vrai religion et donc l’attitude des sociétés envers la femme ne peut être considérée comme le point de vue de l’Islam sur elle », a-t-il expliqué. La distinction entre les préceptes fondamentaux et historiques est un autre principe que l’on peut constater chez Imam Moussa Sadr », a-t-il encore ajouté. L’intérêt pour les réalités de son temps est un autre trait caractéristique de l’Imam Moussa Sadr qui avait connu les besoins et les compétences de la femme contemporaine et qui acceptait la présence militaire de la femme et considérait comme nécessaire, la formation militaire de la femme pour défendre sa dignité », a-t-il conclu. 1216820
Leprésident de l’Association Sida Foot, Mali Événement International, Boubacar Soumaoro dit Bouba Fané vient de lancer un grand projet d’envergure dénommé : « A la Découverte de l’Afrique » avec ses partenaires dont M2D PRO, Crache Ton Venin. Cette rencontre d’affaire et la découverte de l’Afrique se tiendra au mois de mai 2023. Vu son
Le château de Versailles vient d'annoncer l'acquisition d'une toile représentant Catherine Duchemin, première femme admise à l'Académie royale de peinture et de sculpture. Après l’acquisition en novembre dernier d’un portrait de Marie-Antoinette disparu depuis 100 ans, le château emblématique de Louis XIV, Versailles, accueille une nouvelle toile. Réalisée par un anonyme, elle représente la peintre française Catherine Duchemin 1630-1698, posant à son chevalet. Méconnue du grand public, elle est pourtant la première femme à être admise à l’Académie royale de peinture et de sculpture. Préemptée par le château pour 301 760 € chez Artcurial le 23 mars dernier, la toile dépasse largement son estimation initiale, qui s’élevait entre 100 000 et 150 000 €. Cette acquisition permet au château d’élargir ses collections, constituées de portraits d’académiciens exclusivement masculins, en donnant de la visibilité aux artistes femmes du siècle d’or ». Catherine Duchemin, une pionnière dans l’histoire de l’art Fille d’un peintre décorateur parisien, Catherine Duchemin grandit dans un milieu artistique qui l’amena à rencontrer et à épouser François Girardon 1628-1715, qui deviendra le premier sculpteur du roi. Peintre très active au XVIIe siècle en France, Catherine Duchemin s’inscrit dans un genre plutôt réservé aux femmes, c’est-à-dire la peinture de fleurs et la nature morte. Mais elle se distingue surtout par sa qualité de première femme reçue à l’Académie royale de peinture et de sculpture, le 14 avril 1663, soit 15 ans après sa création par Louis XIV. Catherine Duchemin par un anonyme, château de Versailles, Dist RMN ©C . Fouin Elle revêt donc une importance historique dans un siècle dominé par une production masculine mettant les femmes à l’écart du cursus officiel de la formation artistique. C’est en effet surtout au siècle suivant que commencent à s’émanciper les peintres femmes, qui fleuriront à Paris, à l’instar d’Angélique Mongez, d’Adélaïde Labille-Guiard, d’Hortense Haudebourt-Lescot ou encore d’Élisabeth Vigée Le Brun. Une œuvre sophistiquée non attribuée Réalisée par un anonyme, l’œuvre acquise par le château de Versailles montre l’artiste assise, peignant un bouquet de fleurs disposé en face d’elle. Selon un communiqué, il est possible que Catherine Duchemin elle-même ait peint la composition florale, ce qui ferait de ce portrait un exemple unique de son art ». Ses yeux sont yeux rivés sur le spectateur, tandis qu’un léger sourire flotte sur son visage. La toile bénéficie d’une exécution de grande qualité. Dans la salle Louis XIV trônent de nombreux portraits d’académiciens ©Château de Versailles – T. Garnier Le raffinement de l’habit, la sophistication des détails et la gestion harmonieuse des lumières témoignent d’une ambition toute particulière », estime un communiqué. Après sa restauration, le tableau prendra place au cœur d’un ensemble de portraits d’académiciens, rassemblés aujourd’hui dans les salles Louis XIV, dont la confrontation pourra aider le château à attribuer l’œuvre. Toutes ces pièces constituent de précieux témoignages sur la politique artistique et culturelle d’un roi qui s’est longtemps voulu protecteur et promoteur des arts. Lechâteau de Versailles vient d'annoncer l'acquisition d'une toile représentant Catherine Duchemin, première femme admise à l'Académie royale de peinture et de sculpture. Après l’acquisition en novembre dernier d’un portrait de Marie-Antoinette disparu depuis 100 ans, le château emblématique de Louis XIV, Versailles , accueille une nouvelle toile.
Informaticienne, elle a été la première femme nommée ministre déléguée au Mali. Ancienne ministre de la promotion de la femme de l’enfant et de la famille. Présidente du conseil d’administration de l’AMRTP. Voici en quelques lignes son portrait. Née en juillet 1952 à Bamako, Mme Diallo M’Bodji Sène est diplômée en statistique au centre européen de formation des statisticiens économistes des pays en voie de développement à Paris en 1974 et au centre démographique ONU-Roumanie en 1974. Elle a obtenu deux 2 diplômes de spécialisation en programmation informatique au centre privé d’études pratiques d’informatiques et d’automatique de Versailles en 1986 et à l’institut africain d’informatique de Libreville en 1989. Dans la haute administration, elle a été nommée Conseillère technique au ministère du Plan et de la Coopération internationale de 1991 à 1992 puis de 1997 à 2000 ensuite chargée de mission au ministère de l’Economie, des Finances et du Plan de 1992 à 1993. Elle devient, de 1993 à 1997, Economiste nationale du Projet Nat cap du PNUD. Après, elle se retrouve au ministère de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille comme Conseiller technique de 2000 à 2001 puis chef de Cabinet en 2002. Le 11 novembre de la même année, elle est promue ministre Déléguée chargée de l’Emploi et de la Promotion professionnelle jusqu’au 2 mai 2004 date à laquelle elle est confirmée ministre titulaire du même département. Elle y reste jusqu’au 20 juin 2005 et est promue au ministère de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille. Elle quitte le gouvernement le 03 octobre 2007 pour céder la place à Mme Maïga Sina Damba et devenir deux années plus tard le 30 mars 2009 présidente du Conseil de gestion du Conseil de régulation des Télécommunications Crt le 30 mars 2009, devenue en 2011 AMRTP Autorité Malienne de Régulation des Télécommunication/Tic et Postes dont elle assure la présidence du Conseil d’administration jusqu’au 1er août 2013. Durant son séjour au ministère de la promotion de la femme de l’enfant et de le famille, Mme Diallo M’Bodji Sène a multiplié les actions de bienveillance à l’égard des couches les plus défavorisées de notre pays, notamment envers les femmes et les enfants. Elle a été à l’époque la première et l’unique femme nommée ministre déléguée au Mali et jouit actuellement de ses droits à la retraite. En définitive, Mme Diallo M’Bodji Sène est une femme battante, elle est le prototype de la femme qui sait se battre pour la cause de ses sœurs et de toutes les femmes. Elle a participé à l’émancipation de la femme et de l’enfant au développement de la société. Oumou Sissoko Source L’Alternance Suivez-nous sur Facebook sur
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Politique Présidentielle 2024 Faits-Divers Societe International Economie Sport Opinions Senenews TV Accueil » Stars » Ndeye Marie, la Niarel de Moussa Versailles parle pour la première fois de sa coepouse sama… » Publié le 28 décembre 2021 - Mis à jour le 28 décembre 2021 Ndeye Marie, la Niarel de Moussa Versailles parle pour la première fois de sa coepouse sama… »→ A LIRE AUSSI A la découverte de Mrs Evora alias Malika Karma dans la vraie vie → A LIRE AUSSI Only Woman Awards Mai de la série Karma » remporte le prix de la meilleure actrice de l’année photos→ A LIRE AUSSI Ndeye Marie et Virginie font le buzz dans un clip. Regardez ! Mis en ligne par Khadija SENE Mots-clés karma, moussa, ndeye marie Mots-clés karma, moussa, ndeye marie Laisser un commentaire Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Commentaire Nom E-mail Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. BEST OF - Senenews TV - N°1 de l'Actualité sur mobile au Sénégal Contactez-nous Mentions légales Qui sommes-nous? Publicité Télécharger sur Mobile Nos Widgets Notre Charte Nos partenaires Actualités A la Une Société Politique Faits Divers Economie Culture Education Afrique Monde Santé Planéte Science & Technologie People Developpement Personnel Cuisine Littérature Religion Sport Lamb Tanière des lions Debattre Portraits Chroniques Editorial Infos Régionales Dakar Thiès Saint-Louis Diourbel Fatick Kaolack Kolda Louga Matam Tambacounda Ziguinchor Sédhiou Kaffrine Kédougou Proposez un article SeneNews Vidéo Facebook SeneNews Twitter SeneNews Google SeneNews Pinterest SeneNews Tumblr SeneNews Linkedin SeneNews Youtube SeneNews Appstore SeneNews Google Play SeneNews Flux rss SeneNews Senenews est le magazine en ligne d'actualités au Sénégal vie politique, culturelle, information sportive, actu économique, news people, société, l'info régionale, fait divers, ... Le site d'infos du Sénégal de référence disponible également sur mobile. Toutes les actus du jour en temps réel sur le journal en ligne
FORME- Inattendue et merveilleuse, ma première visite du Château de Versailles a été placée sous le signe du yoga et de la solidarité! Embarquée matinalement par mon amie Elodie Garamond
L’appellation Grand Siècle » attribuée au XVIIe siècle français désigne un sommet de civilisation, passé à la postérité sous le signe de la grandeur et de la raison, mais qui fut aussi parcouru de passions - mystiques, littéraires, amoureuses, politiques - dont le point commun est la hauteur d’engagement. Grand siècle des âmes » Daniel-Rops, le XVIIe siècle français n’est certes pas univoque. Qu’il s’agisse de foi, de culture ou de gouvernement, on ne s’engage pas de la même manière sous Henri IV, Louis XIII ou au début de la régence d’Anne d’Autriche que sous le règne de Louis XIV. Les mentalités du premier XVIIe siècle sont marquées par une tension vers l’héroïsme, le goût du romanesque et la conquête de l’idéal. Marie-Joëlle Guillaume Les inspiratrices du Grand Siècle Le Grand Siècle a laissé dans l’Histoire une marque profonde. Quid des femmes ? Le thème n’avait été jusqu’à présent qu’effleuré. Spécialiste du XVIIe siècle, éditorialiste et conférencière, Marie-Joëlle Guillaume a décidé d’explorer cette question à travers une galerie de onze portraits de femmes éminentes. Le Grand Siècle au féminin, avril 2022, 382 pages, éditions Perrin. Loin de ne s’attacher qu’à analyser le rôle des plus illustres, l’auteure nous fait aussi découvrir d’autres figures moins connues mais dont l’action fut tout aussi décisive. Marie-Joëlle Guillaume nous dévoile ainsi la contribution de ces femmes d’exception à la création du Grand Siècle. Grande liberté d'esprit Sous le long règne de Louis XIV, traversé de passions tragiques et de déchirures de l’esprit public, de la Fronde aux querelles religieuses de la fin du siècle sur fond de montée du libertinage, le pessimisme augustinien domine. Mais l’art de vivre en société est commun aux deux périodes. Dans les cercles de la noblesse et de la haute magistrature, la conversation des honnêtes gens », faite d’amour des mots, de courtoisie réciproque et d’intérêt très vif pour les saillies de l’esprit, devient un grand jeu littéraire où se polit la civilisation française. Le revers de la médaille est la tentation, à laquelle cèderont les Solitaires de Port-Royal, de rompre en visière » avec un monde en représentation permanente pour mieux viser l’absolu. Evoquer les femmes du Grand Siècle, c’est prendre conscience qu’au premier comme au second XVIIe siècle les élites féminines ont joué un rôle déterminant dans cette affirmation et cette évolution de la vie spirituelle, intellectuelle, sociale et politique de leur temps. Inspiratrices ou actrices, médiatrices d’idées et de comportements, certaines d’entre elles furent des éducatrices de la société, d’autres des pionnières de l’indépendance féminine. Toutes ont témoigné d’une grande liberté d’esprit et d’allures et d’un attachement sans faille à ce qui leur semblait essentiel. Ce faisant, elles ont fécondé leur temps. À les voir vivre, on mesure l’écart qu’il peut y avoir entre les normes rigides d’une société d’ordres », comme l’était le XVIIe siècle, et la réalité humaine quotidienne qui permettait de s’en échapper en souplesse, au prix d’un peu de constance et de volonté. Car il y a un paradoxe dans le destin des grandes figures féminines de l’époque. À considérer leur statut juridique, elles sont fort peu libres, passant de la tutelle de leur père à celle de leur mari, voire des autorités de leur couvent. Comme au siècle précédent, elles sont exclues des charges publiques, et la puissance de leur époux, à la fois de droit divin par le sacrement de mariage et de droit naturel selon les règles de l’État, fonde les décisions de leur vie quotidienne. Seules les veuves jouissent d’une autonomie juridique, ne dépendant plus que d’elles-mêmes et pouvant gérer leurs biens comme bon leur semble. Encore faut-il qu’elles réussissent à échapper aux pressions des parents pour un remariage une Madeleine de La Peltrie, pionnière des missionnaires de la Nouvelle-France, ne put partir pour le Québec, en 1639, qu’au prix d’un stratagème rocambolesque pour échapper à sa famille. En revanche Mme de Sévigné, veuve à 25 ans, sut imposer au conseil de famille sa volonté de ne pas se remarier, mais d’élever ses deux enfants et de gérer ses biens comme elle l’entendait. Notons que ce sont d’abord des veuves, issues de la haute magistrature et de la noblesse, qui constituent à partir de 1634 la puissante confrérie des Dames de la charité de l’Hôtel-Dieu de Paris, gérant en toute autonomie les finances et l’administration des œuvres de saint Vincent de Paul, depuis les secours sur le front des guerres jusqu’aux missions lointaines, en passant par lœuvre des Enfants trouvés. Mais il n’y a pas parmi ces femmes que des veuves, ce qui nous conduit à préciser que d’autres éléments entrent en ligne de compte pour une juste appréciation du statut de la femme au XVIIe siècle. Distinguons-en deux. D’abord, la prééminence des hiérarchies sociales. Publié ou mis à jour le 2022-08-23 173344
LAFEDERATION SUD COMMERCES ET SERVICES. oct. 2021 - aujourd’hui9 mois. Renouvellement des Comités sociaux et Économiques des entreprises, négocier et suivre les protocoles électoraux, participer aux activités juridiques et de formation de la Fédération, représentation au Conseil de Prud'hommes, Cour d'appel, et tribunal judiciaire.
12 mois Déja 0 0 Très connu dans le milieu de la mode le styliste Moussa Versailles n’est pas allé loin pour trouver une seconde épouse. En effet il vient d’épouser la modèle photo yakhara Gueye plus connu sous la nom de Ndeye Marie . La jeune actrice dans la série Karma est devenue depuis ce week-end la 《niarel》 seconde épouse su célèbre styliste bien connu en Europe. Nous souhaitons un heureux ménage au couple et un foyer fécond. Happy 0 % Sad 0 % Excited 0 % Sleepy 0 % Angry 0 % Surprise 0 % Please follow and like us
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