CetteVoie Verte, qui commence au cĆur de Rennes, a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©e sur les berges du canal dâIlle-et-Rance : 63km bien jalonnĂ©s en Ille-et-Vilaine, et 22km en CĂŽtes dâArmor. Elle offre un parcours aux paysages trĂšs variĂ©s, en pleine nature, avec des Ă©cluses fleuries qui ponctuent la promenade. Elle se prolonge par une Voie Verte de
Imaginez que vous ĂȘtes perdu au fin fond des bois, ou en haut de la montagne, ou dans un grand trou noir. Pas question de manger nâimporte quoi. En pleine nature comme en sociĂ©tĂ©, ne mĂąchons pas les yeux fermĂ©s ! Voici un petit guide pour vous aider Ă bien vous nourrir en cas de situation de survie. Nul ne sait dâoĂč partira lâApocalypse. Certains annoncent une crise Ă©cologique ou Ă©conomique majeure, une pĂ©nurie dâĂ©nergie, dâautres voient venir une pandĂ©mie dramatique, un hiver nuclĂ©aire ou un cataclysme mondial, tandis que les esprits crĂ©atifs imaginent dĂ©jĂ une invasion de zombies ! Toujours est-il que dans ce genre de scĂ©nario, vous pourrez dire adieu aux supermarchĂ©s et leurs rayons bien remplis, mais pire que ça, lâagriculture se sera effondrĂ©e et mĂȘme la Ruche qui dit Oui ! ne pourra plus vous fournir en bons produits ! Au milieu du chaos, il vous faudra apprendre Ă survivre en ne comptant que sur vous-mĂȘme et ce que prodiguera la nature. LivrĂ© Ă vous-mĂȘme dans la nature, la peur de manquer peut devenir une angoisse terrible, mais cette angoisse tient parfois Ă des mythes peu fondĂ©s. En effet, lâĂȘtre humain est capable dâingurgiter beaucoup de choses, beaucoup plus quâon ne le croit. Nous sommes largement conditionnĂ©s par notre alimentation civilisĂ©e, normĂ©e et calibrĂ©e Ă lâextrĂȘme, mais nâoublions pas que nos ancĂȘtres pas si lointains mangeaient frĂ©quemment des choses qui aujourdâhui nâentreraient mĂȘme plus dans la catĂ©gorie aliment varech, bulbes de fleurs, orties, chats, sciures de bois ou cuir⊠© Ăric Van den Broek LâĂȘtre humain nâest pas fait pour ingurgiter de la nourriture matin, midi et soir. Il peut passer sans problĂšme plusieurs jours sans manger et mĂȘme plusieurs semaines. Dans les Ă©missions tĂ©lĂ© autour de la survie, les candidats semblent toujours obnubilĂ©s par la faim et se jettent sur les mets les plus rĂ©pugnants Ă la premiĂšre occasion. Ne les imitez pas, et ne paniquez pas parce que vous manquez de nourriture ! LâaccĂšs Ă lâeau potable est nettement prioritaire. Observez bien votre environnement. Lâobservation est lâune des clĂ©s essentielles pour tout bon survivant. La nature est assez abondante mais il faut beaucoup de connaissances pour savoir en tirer profit. Lâignorance tue plus que la raretĂ©. Apprenez dĂšs aujourdâhui Ă reconnaĂźtre les plantes et Ă maĂźtriser quelques bonnes pratiques. Prenez lâhabitude de renifler, toucher, goĂ»ter en petites quantitĂ©s ce que vous ne connaissez pas et recrachez au moindre doute. Au pied de mon arbre⊠Une fois que vous avez trouvĂ© un point dâeau potable, il est temps de se mettre en quĂȘte de nourriture. Inutile pour le moment de vous confectionner une sagaie et dâaller traquer le mammouth ! Mieux vaut vous dĂ©gotter un coin de forĂȘt riche en chĂȘnes, en chĂątaigniers ou en hĂȘtres, trois arbres trĂšs abondants en France et qui vous apporteront une alimentation riche, facile Ă conserver, Ă transformer sans ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able au goĂ»t. Les glands et les chĂątaignes ont occupĂ© trĂšs longtemps une place essentielle Ă la survie de rĂ©gions entiĂšres, en Corse, en Kabylie, en Espagne, au Portugal et ailleurs. Une douzaine de chĂątaigniers pouvait faire vivre une famille entiĂšre ! Avec le gland du chĂȘne, on obtient une farine trĂšs nourrissante qui peut servir de base pour une alimentation de survie. Pour le cuisiner, il faut le passer dans lâeau bouillante en changeant lâeau rĂ©guliĂšrement, puis le laisser sĂ©cher et le rĂ©duire en poudre. Lâeau bouillie dans laquelle on a cuit les glands prend une teinte sombre ; câest le tanin amer qui sâĂ©chappe. Avec cette eau, on obtient un cafĂ© » un peu rĂąpeux mais qui rappellera aux nostalgiques post-apocalyptiques ce bon vieux temps des pauses entre collĂšgues Ă la cafĂ©tâ de lâentresol⊠© Ăric Van den Broek Les chĂątaignes sont des fruits tout aussi riches et plus familiers. En pĂ©riode de famine, elles sont toujours venues en aide aux hommes et seront pour vous une valeur sĂ»re presque indispensable. Si vous avez la chance de tomber sur une forĂȘt riche en chĂątaignes, restez dans les parages car vos chances de survie ont considĂ©rablement augmenté⊠Les faĂźnes sont les fruits du hĂȘtre et ont un goĂ»t Ă mi-chemin entre la chĂątaigne et la noisette. Ils se prĂ©parent en farine comme les glands ou cuits comme les chĂątaignes. Ils sont composĂ©s Ă 45 % de matiĂšre grasse ce qui est trĂšs apprĂ©ciable quand il sâagit de passer lâhiver ou fabriquer un beurre de substitution. Ruez-vous enfin sur les noyers, les noisetiers, les amandiers⊠Les fruits Ă coque sont incontournables en situation de survie⊠Muesli nature Les graines et cĂ©rĂ©ales sont des concentrĂ©s de lâĂ©nergie dâune plante. Câest lĂ oĂč se trouvent les Ă©lĂ©ments les plus riches et les plus nutritifs. Câest pour cela que les cĂ©rĂ©ales sont Ă la base de presque tous les rĂ©gimes alimentaires Ă travers le monde. Tous les graminĂ©es font des graines comestibles ; riz, blĂ©, maĂŻs, seigle, avoine, orge, Ă©peautre, engrain, bambous⊠Une vaste famille aisĂ©ment reconnaissable qui vous rendra de fiers services. Les graines, câest deux aliments en un !Mais il est possible de manger les graines dâautres plantes Ă cĂ©rĂ©ales ; chĂ©nopodes, amarantes ou sarrasin⊠Ces semences ont un autre avantage de taille une excellente capacitĂ© de conservation, mais en pratique, il est trĂšs laborieux de dĂ©cortiquer chaque brin dâherbacĂ©e pour y rĂ©colter de toutes petites graines. Câest pourquoi vous ne pourrez sans doute pas miser seulement sur elles. Toutefois, un stock de graines en rĂ©serve pourrait ĂȘtre un atout important en pĂ©riode de vaches maigres. Ă noter quâil est possible de faire facilement germer les graines et que celles-ci deviennent des aliments trĂšs diffĂ©rents en matiĂšre dâapports nutritionnels. Elles contiennent plus de vitamines, de minĂ©raux, de protĂ©inesâŠ. Les graines, câest donc deux aliments en un ! Baies et fruits sauvages Il est difficile de dĂ©limiter lĂ oĂč commence le fruit sauvage et ou sâarrĂȘte le fruit cultivĂ©. Ce qui est certain en revanche, câest quâen cas de fin brutale de lâagriculture, lâimmense majoritĂ© de nos vergers cesserait pratiquement de produire en lâespace de quelques annĂ©es. Sans les tailles, les traitements et les apports constants dâarboriculteurs, les variĂ©tĂ©s actuelles ne pourraient guĂšre survivre et encore moins fructifier correctement. Mis Ă part les figuiers, les pruniers et les cerisiers qui sâen tirent honorablement sans entretien, il faut aller regarder du cĂŽtĂ© des espĂšces sauvages. Chez les arbres, citons le nĂ©flier, le cormier ou lâalisier blanc qui produisent des fruits comestibles et savoureux sans quâon ne leur ait rien demandĂ©. Les ronces poussent partout et font de dĂ©licieuses mĂ»res en Ă©tĂ©. Dans les sous-bois, les fraises des bois sont assez communes et accessibles dĂšs le printemps. Dâautres baies sont trĂšs intĂ©ressantes car elles sont accessibles pendant la pĂ©riode difficile de lâhiver. Câest le cas des prunelles, des cenelles ou des poils-Ă -gratter qui se consomment aprĂšs les premiĂšres gelĂ©es. Elles sont riches en vitamines et en sucres. © Ăric Van den Broek Un peu dâeau fraĂźche et de verdure Les mauvaises herbes contre lesquelles vous vous acharniez lorsque le monde tenait encore dĂ©bout vont devenir de prĂ©cieuses alliĂ©es. La plupart dâentre elles sont non seulement comestibles mais Ă©galement pleines de vertus, alors si vous ne tenez pas Ă manger les pissenlits par la racine, il est temps de les croquer par les feuilles ! Le pissenlit se consomme cru ou cuit et a des vertus diurĂ©tiques, comme le gaillet gratteron que lâon trouve en grande quantitĂ© dans les jardins, les sentiers et les lisiĂšres. Les orties sont riches en vitamines C, fer et magnĂ©sium. Elles se consomment cuites comme les Ă©pinards et ont un goĂ»t agrĂ©able. Leur piquant disparaĂźt naturellement 2 jours aprĂšs arrachage ou simplement en les passant quelques secondes dans lâeau bouillante. Le rumex se consomme cuit et a un goĂ»t acidulĂ© proche de lâoseille, la bourrache se prĂ©pare en tisane et est riche en protĂ©ine et vitamine B12. Les plantains, trĂšs courants, sont riches en glucides. La gesse a un goĂ»t de petit pois, lâalliaire donnera un peu de piquant Ă vos plats et lâail des ours est un dĂ©licieux condiment pour agrĂ©menter vos menus sauvages⊠Ces plantes comestibles ne peuvent pas fournir un apport Ă©nergĂ©tique trĂšs important mais sont riches en vitamines et nutriments vitaux qui vous aideront Ă rester en bonne santĂ©. Il ne faut pas sous-estimer non plus leurs capacitĂ©s Ă parfumer et agrĂ©menter vos menus. Ă noter que les jeunes pousses sont toujours plus tendres et meilleures que les autres. Dans une riviĂšre ou le long dâun rivage, il est possible de pĂȘcher avec un matĂ©riel de chasseur-pĂȘcheur Lâun des grands mythes du survivant est lâhomme musclĂ© et suant en train de dĂ©pecer un sanglier ou de chasser un cerf Ă mains nues dans le plus pur style Cro-Magnon. Pourtant, pour un novice, il est plus que probable que la chasse se solde par un Ă©chec complet coĂ»teux en Ă©nergie et dangereux pour la santĂ©. MĂȘme si par chance, vous parvenez Ă dĂ©goter un chevreuil, serez-vous capable de le prĂ©parer et de le conserver dans de bonnes conditions ? Ă moins dâĂȘtre chasseur expĂ©rimentĂ© et Ă©quipĂ©, mieux vaut ne pas sâengager sur cette voie. Avec un bon sens de lâobservation et un peu dâhabilitĂ©, vous pourrez sans doute tendre des piĂšges Ă lapins ou Ă liĂšvres et vous pourrez toujours vous rabattre sur les insectes mais le mieux question nourriture animale, câest encore le poisson. Dans une riviĂšre ou le long dâun rivage, il est possible de pĂȘcher avec un matĂ©riel de fortune. Le poisson est gĂ©nĂ©ralement facile Ă cuisiner et riche et acides gras non saturĂ©s, lipides, protĂ©ines et vitamines B, A et D. Il est possible de le sĂ©cher ou le fumer pour le conserver plus longtemps. © Ăric Van den Broek Champignons pas vraiment hallucinants Les champignons sont dĂ©licieux et disponibles assez facilement. Ils paraissent ĂȘtre de bons candidats pour les gastronomes de lâextrĂȘme, jusquâau moment oĂč lâon dĂ©couvre leur valeur Ă©nergĂ©tique particuliĂšrement faible. Certes, ils contiennent des vitamines B et des oligo-Ă©lĂ©ments mais Ă©tant donnĂ© leur potentielle toxicitĂ© et le fait quâils sont difficiles Ă digĂ©rer, lâenjeu nâen vaut pas vraiment la chandelle. Si vous maĂźtrisez correctement la reconnaissance des champignons, vous pourrez toujours en glaner quelques-uns sur votre passage pour agrĂ©menter vos plats mais ne comptez pas sur eux pour couvrir vos besoins caloriques.
Guidedu gastronome survivaliste. Trucs et astuces. Par William Van den Broek , 8 novembre 2017. Imaginez que vous ĂȘtes perdu au fin fond des bois, ou en haut de la montagne, ou dans un grand trou noir. Pas question de manger nâimporte quoi. En pleine nature comme en sociĂ©tĂ©, ne mĂąchons pas les yeux fermĂ©s !
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Lechemin est sympa, le temps idĂ©al pour le moment mĂȘme si le brouillard ou les nuages nous empĂšchent de profiter du spectacle. Le terrain est assez gras cependant, les pieds sont dĂ©jĂ mouillĂ©s. ArrivĂ© Ă la Breya, le chemin est plus en balcon et plus minĂ©ral, On discute pas mal de diverses choses donc le temps passe vite. Jules est
Tout public Prendre le temps de flĂąner dans un cadre naturel apaisant⊠Balade 1 tout public / Ă pied ou Ă vĂ©lo Le Blavet est le plus long fleuve cĂŽtier de Bretagne. Il prend sa source dans les CĂŽtes dâArmor, Ă 15km au sud de Guingamp et se jette dans lâOcĂ©an Atlantique dans la rade de Lorient 150km plus loin. Le long du Blavet, le chemin du halage est idĂ©al pour des balades Ă vĂ©lo, en rollers, Ă pied, ou mĂȘme Ă cheval 58km de voie verte sâoffrent Ă vous sur un terrain plat, entre Pontivy et Hennebont. Les paysages vous laissent profiter dâun dĂ©gradĂ© de verts au printemps ou en Ă©tĂ©, ou dâun dĂ©gradĂ©s de marrons, bruns et rouges en automne, le tout dans une atmosphĂšre de quiĂ©tude, bercĂ©e par le chant des criquets ou des oiseaux aux beaux jours ! Une balade reposante au coeur de la nature. Prenez le temps de le dĂ©couvrir, de vous arrĂȘter en chemin pour profiter de cette quiĂ©tude, de pique-niquer ou prendre un goĂ»ter au bord de lâeau ! Nous apprĂ©cions particuliĂšrement la portion entre Bieuzy et Saint-Nicolas des Eaux, tout simplement parce que la balade slalome au bord de lâeau, suivant les mĂ©andres du Blavet, tantĂŽt passant devant une Ă©cluse, tantĂŽt sous un pont⊠Cette portion de chemin nous offre Ă©galement un point de vue exceptionnel sur la Chapelle troglodytique St Gildas XVIe siĂšcle sur lâautre rive, nichĂ©e au creux de la roche ! La balade le long du Blavet en vĂ©lo est particuliĂšrement adaptĂ©e aux familles car le terrain est plat. Ecluse de Gamblen, Bieuzy Balades 2 et/ou 3 â RandonnĂ©es pĂ©destres public ados/adultes Centre Morbihan Tourisme propose multiples randonnĂ©es pĂ©destres dont certaines portions vous invitent Ă dĂ©couvrir les paysages du Blavet et les points de vue autour du Blavet. Les deux randonnĂ©es au dĂ©part de Bieuzy-les-Eaux, dont vous avez le dĂ©tail ICI, sâadressent plutĂŽt Ă un public de bons marcheurs car la distance Ă parcourir oscille entre 12 et 21km selon le circuit choisi Circuit des Landes du Crano et de Castennec, et incluent des portions de route. CĂŽtĂ© pratique, elles vous permettent de rĂ©aliser une boucle. Au vue de notre expĂ©rience sur le circuit, ces deux randonnĂ©es sont faisables avec des ados mais pas recommandĂ©es avec de jeunes enfants et inaccessibles aux poussettes du fait de quelques passages difficiles. Moment de quiĂ©tude le long du Blavet Afin de vous mettre en appĂ©tit, nous partageons avec vous quelques clichĂ©s de nos balades sur lâune ou lâautre des rives, notamment sur la portion entre Bieuzy-les-Eaux et St Nicolas des Eaux, ainsi que depuis Castennec Vue sur la chapelle St Gildas Des paysages variĂ©s, avec un passage sous un pont Sur lâautre rive aprĂšs la traversĂ©e du pont Ă St Nicolas des Eaux, un sentier sur la gauche 100m plus haut avec une partie dans les sous-bois nous avons fait cette randonnĂ©e aprĂšs 2 mois de confinement, mai 2020, par consĂ©quent, il peut y avoir des branchages sur certaines portions de ce chemin dans les jours suivants le dĂ©confinement Sur le site de Castennec, un promontoire vous offre une magnifique vue sur la vallĂ©e du Blavet le promontoire est Ă©galement accessible en voiture Ă Castennec, si jamais vous ne souhaitez pas randonner mais juste profiter de la vue Vue sur le Blavet depuis le promontoire de Castennec 200m aprĂšs le promontoire, sur votre gauche en remontant vers le centre de Castennec, un sentier escarpĂ© sur la fin descend Ă travers bois vers le Blavet et notamment nous mĂšne au site de la Chapelle St Gildas RĂ©crĂ©atiloups ne peut ĂȘtre tenu responsable dâaccident survenu sur le circuit. Et pour dâautres idĂ©es de randonnĂ©es en Centre Morbihan, câest ICI AccĂšs Avis clients
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