Ellepensait que son chien allait adorer Le toiletteur avait dit que Leo était adorable quand il s'agissait de le baigner, donc Summer avait croisé les doigts pour que La saillie est une étape essentielle de la reproduction canine. Il s’agit de la phase d’accouplement entre le chien et la chienne. Pour qu’elle se passe au mieux, il ne faut pas se précipiter et prendre le temps de vérifier plusieurs critères chez la femelle, mais aussi chez le mâle choisi pour la reproduction. Voici les 3 questions essentielles à se poser pour bien comprendre la saillie du chien. Quand la femelle est-elle prête ? Une chienne peut techniquement se reproduire dès ses premières chaleurs. Cependant, il est conseillé d’attendre généralement les 3e ou 4e chaleurs pour éviter tout problème lors de la grossesse. Ensuite, il faut savoir que la chienne est la plus féconde entre 2 et 7 ans. Passé cet âge, elle pourra continuer de se reproduire, mais la gestation pourra être plus compliquée et c’est aussi là que des problèmes peuvent survenir chez les chiots. En effet, les chiennes ne connaissent pas la ménopause elles peuvent donc se reproduire toute leur vie si vous ne les stérilisez pas. Vous devez aussi veiller à ce que votre animal se sente bien physiquement et mentalement pour avoir des petits. Une chienne ayant subi de récents traumatismes abandon, décès, accident, etc. pourra avoir des difficultés à élever correctement ses petits. Bon à savoir Toutes les chiennes n’ont pas leurs premières chaleurs au même âge. L’arrivée des chaleurs varie en fonction de la race au plus tôt à 6 mois pour les chiennes de petite taille et au plus tard à 24 mois pour les chiennes de race géante ! Chaque période de chaleur dure en moyenne 21 jours et survient tous les 6 à 8 choisir le bon mâle ? La deuxième étape pour une saillie réussie consiste à choisir le bon mâle. En effet, vous devez faire un choix sécurisant pour vous et votre animal en prenant en compte plusieurs critères chez le chien. - La taille et le poids pour une portée de chiots croisés, choisissez un mâle ayant les mêmes proportions que votre femelle ou plus petit qu’elle. En effet, si elle est beaucoup plus petite que lui, vous exposez votre chienne à des risques de blessures durant la saillie ou à des difficultés durant la mise-bas des L’état de santé le mâle ne doit pas être trop vieux pas plus de 7 ans et doit être suffisamment en bonne santé pour faire des petits. - Le comportement choisissez de préférence un chien docile et sociable pour vous assurer que la chienne sera en sécurité durant la saillie. - La consanguinité pour la reproduction de chiens de même race, assurez-vous en amont qu’ils ne sont pas de la même lignée pour éviter tout problème de santé à la portée. Le cas des chiens LOFSi votre chienne est LOF, c’est-à-dire inscrite au Livre des Origines Français, et que vous souhaitez que les chiots aient eux aussi un pédigree, vous devez choisir un mâle qui soit LOF également. Anticipez la reproduction en demandant à la Centrale Canine un document officiel pour déclarer l’accouplement. Ce document devra être signé par le propriétaire du mâle le jour de la saillie afin que votre portée de chiots soit déclarée comme LOF. Comment s’organise la saillie ? Dès que votre recherche de partenaire est terminée, mettez-vous d’accord avec le propriétaire du chien avant la reproduction concernant les éventuels frais liés à la reproduction. S’ils sont la plupart du temps à la charge de le propriétaire de la femelle qui garde les chiots dans la majorité des cas, il se peut que le propriétaire du chien mâle souhaite y participer d’une manière ou d’une autre. Quelles que soient les conditions, établissez ensemble un contrat signé par les deux la période idéale d’ovulation Une fois que tout est réglé administrativement et financièrement, il faut organiser la saillie à partir du moment où votre chienne a ses chaleurs, sachant que celles-ci se divisent en 4 La phase de pré-oestrus c’est le début des chaleurs. Cette phase dure une dizaine de jours en moyenne. C’est le moment où la femelle attire le plus les mâles. - La phase d’oestrus il s’agit de la phase d’ovulation de la chienne qui dure également une dizaine de jours. C’est aussi la période idéale pour la saillie. Pour vous aider à connaître la période idéale d’ovulation de votre chienne, vous pouvez demander à votre vétérinaire qu’il effectue des frottis et des prises de sang pour évaluer le taux d’hormones de votre animal et ainsi connaître le moment opportun pour une rencontre avec un mâle. - La phase de metœstrus c’est la fin de la période des chaleurs, qui dure 50 à 80 jours. Pendant cette période, le corps de la chienne redevient normal et elle ne se laisse plus approcher par les mâles. C’est aussi durant cette période qu’a lieu la fécondation de la femelle si la saillie est réussie. - La phase d’anœstrus c’est une longue phase de repos qui s’étend sur 4 mois en moyenne, avant le retour des chaleurs. Préparer les chiens à l’accouplement Dès lors que vous connaissez la période d’ovulation de votre chienne, vous pouvez organiser la rencontre avec le mâle pour l’accouplement des chiens. Cette étape pouvant être assez éprouvante pour les deux animaux, assurez-vous qu’ils soient en forme. Nourrissez-les et faites en sorte qu’ils s’hydratent. Ne leur faites pas trop faire d’exercice physique juste avant l’accouplement pour ne pas les fatiguer inutilement. Le jour de la la rencontre, privilégiez un environnement calme pour que les chiens puissent se sentir à l’aise. Les étapes de la saillie Si la chienne se sent prête et accepte le mâle, les étapes de la saillie devraient se dérouler ainsi - Le mâle entame une parade et renifle la vulve de la chienne c’est ce qu’on appelle le comportement précopulatoire. Il se posera ensuite à côté d’elle en attendant qu’elle l’ Si la chienne accepte le mâle, elle lui présentera plusieurs fois sa croupe et n’opposera pas de résistance. C’est le signe que la saillie pourra débuter. - Le mâle montera ensuite sur la femelle. La phase de coït est très brève, mais elle ne signifie pas la fin de la saillie. Le mâle va ensuite rester accroché à l’intérieur de la femelle pendant 5 à 30 minutes. Il est possible qu’il redescende et se retourne pour rester collé à elle, croupe contre croupe. Cette phase de verrouillage permet au mâle de libérer un fluide destiné à pousser ses spermatozoïdes dans l’utérus de la femelle. C’est une étape importante pour que la fécondation soit Une fois cette phase finie, la saillie est terminée. Que ce soit pour une stérilisation une fois la gestation terminée ou pour la prise en charge de certains frais de santé en cas d’hospitalisation, n’oubliez pas de souscrire à une assurance santé chien pour que la vie et la gestation de votre chienne n’aient pas d’impact sur votre portefeuille.
Leschiens restent collés après l'accouplement parce que l'éjaculation du chien se produit en trois phases ou fractions : Fraction urétrale : elle se produit au début de la pénétration et en cette occasion le chien expulse un premier liquide qui ne contient aucun spermatozoïdes. Fraction spermatique : après la première éjaculation, l
Quand elle a réalisé sa présence, déjà il était trop tard. Il l’avait choisie. Mais elle ne le savait pas. Il n’avait pas l’air menaçant malgré son allure un peu sauvage. Il était immobile sur le macadam mouillé, insensible à la morsure du froid et aux dards de la pluie. La première chose qui intrigua l’innocente fût ce regard noir et fixe qui ne se détournait jamais. Peut-être a-t’il faim, pensa l’innocente. Et elle poursuivit son chemin à-travers le parking, sautant d’une flaque de lumière à une autre flaque de lumière, blême et mouillée, sous le tronc métallique des grands lampadaires. Tictictic. Le bruit des griffes sur le goudron lisse. Un rythme lent, comme celui d’un métronome, trop régulier. L’innocente s’arrête, se retourne. Le chien s’immobilise, la fixe à nouveau. Qu’est-ce qu’il me veut, cet animal ? se demande l’innocente qui, en son for intérieur, commence à ressentir les premiers étranglements du nœud dans son ventre. Elle respire une fois, deux, profondément, trois, quatre, puis reprend sa marche à reculons. Tictictic. Le chien ne la lâche pas. Il ne lâche jamais ses proies. Tictictic. Le nœud se resserre, le ventre fait mal, l’innocente accélère un peu. Le chien aussi. Tictictictic. Un lampadaire grésille puis s’éteint, une flaque de lumière blême et mouillée se dilue dans l’eau de pluie. Laisse-moi s’il-te-plaît, va t’en ! lance l’innocente au molosse qui se rapproche, qui accélère encore. L’innocente sent maintenant pleinement le danger, ça a un goût de métal rouillé dans sa bouche, impossible d’avaler sa peur sans se mettre à vomir. Le chien retrousse ses babines, grogne un peu pour exciter sa proie, il se sait en avantage car il connaît l’issue. L’innocente se retourne et se met à courir, courir, son sac serré contre son ventre qui fait si mal, ses cheveux collés à son front par la pluie. Le chien est satisfait, il obtient toujours ce qu’il veut et l’obtiendra, une fois de plus, ce soir-là. Trois bonds souples, la mâchoire s’écarte, les crocs libérés de leur prison de chair s’enfoncent dans la gorge tiède, percent la surface, l’étau se resserre, implacable. Quand il est satisfait le molosse s’en va, tictictic, comme il est venu, sans faire de remous, sans se matin le soleil se lève sur un tas de chair et de sang coagulé. Le parking est Sali, il faudra nettoyer ça. Les citadins sont dégoûtés et se pincent le nez en détournant le regard. L’innocente n’a plus rien d’une innocente à leurs lumière lui fait mal aux yeux. Le tas de chair et de sang dénoue ses membres, teste les articulations. Tout semble fonctionner. Approximativement. Le tas sait qu’il sera capable de marcher, mais à vrai dire il ne s’en sent ni la force ni l’envie. Le tas se retasse sur lui-même, forme une boule, un amas répugnant à regarder. D’ailleurs les passants le regardent avec horreur et mépris. Il y en a même qui lui crachent dessus. Petite salope », c’est ce qu’on dit au tas qui gît là parterre. Le tas ignore pourquoi on le traite de cette manière, et puis il ne se souvient pas bien de ce qui s’est passé. A-t’il fait quelque chose de mal ? Le sang sur ce qui reste de sa gorge à séché et tombe en poussière. Une vieille femme avec une canne pousse le tas du pied en lui jetant des regards haineux. Chienne », qu’elle dit. Le tas hésite entre rire et pleurer. Chienne, comme la femelle du chien, cette sale bête qui a transformé l’innocente en tas ; cette vieille insinue à peine qu’ils sont de la même espèce, le chien et le tas. C’est drôle. Très drôle. Et affreusement triste aussi. Le tas se secoue un peu, effrite le sang sec qui colle partout, se recompose en forme d’humaine ou de quelque chose d’approchant, allonge ses membres de chiffon et se lève. Tous ces gens en forme de gens tirent des têtes de chiens quand ils voient cette humaine en forme de tas qui tombe d’un pied à l’autre plus qu’elle ne marche, traînant un sac tout foutu. Le tas a envie de vomir. Le goût de ferraille rouillée est omniprésent. Le tas gémit un peu, il a mal même à des endroits dont il ignorait l’existence. T gueule » lui disent les passants, molestés par la plainte inaudible. Alors le tas se tait et se met à penser très fort. Il se forme sous son crâne une idée, qui éclate comme une bulle de savon avant de réapparaître, plus grosse, plus consistante. Plof ! ». La bulle-idée éclate à nouveau et se reforme comme par magie. L’idée est rouge et a un goût de viande crue. Et sent la fumée, allez savoir pourquoi, la fumée toxique du charbon industriel. Le tas la savoure comme s’il n’avait jamais eu de meilleure idée. La hume. La déguste. L’admire. Le tas est ravi, absolument ravi de son idée. Cette nuit et toutes les suivantes, roulée en boule, l’humaine en forme de tas rêve à l’idée, se nourrit et s’abreuve de l’idée. Au point que sa chair se met à rétrécir et rétrécir encore, transformant le tas humain en squelette humain. Un matin le squelette se lève, se regarde, s’horrifie à sa seule vue et décide que le moment de réaliser l’idée est venu. Tuer le chien. Lui briser la mâchoire. Lui arracher les crocs qu’il lui a plantés dans la peau, l’ouvrir en canal pour lui arracher ses tripes palpitantes et puantes et l’étrangler avec. Avec les nuits d’insomnies le squelette a eu encore pleins d’autres bonnes idées, mais il se dit qu’il verra bien le moment venu, dans le feu de l’action. Il le fera à l’instinct. Peut-être quand même qu’il lui arrachera la langue et les yeux avec ses propres dents, qui sait ? Le squelette se sent très inspiré. Le manque de sommeil le rend lucide d’une manière qui l’effraierait s’il n’était pas trop fatigué pour s’en rendre compte. Il est au bout du rouleau. S’il ne tue pas le chien il ne trouvera plus jamais le sommeil, pense-t-il. Question de survie, n’est-ce pas, prétexte le squelette qui sent comme des braises rougeoyer dans son estomac et ses squelette s’arme d’un lourd bâton. D’un couteau de cuisine très tranchant. De son courage. Respire fort. Le courage lui file entre les doigts comme du sable d’un lac de montagne. Sueurs froides, nœud qui se serre à nouveau. Le squelette abandonne le bâton, le reprend, laisse le couteau, hésite. Tuer le clébard à mains nues, voilà qui serait vraiment bon. Les dents du squelette grincent, ses poings se serrent dans un réflexe involontaire. Armé de sa seule haine, le squelette sort en chasse. Cette sale bête ne peut pas être bien loin. Le squelette s’imagine pouvoir sauver une autre innocente, lui éviter de subir le même sort, la sortir indemne des mâchoires du molosse avant qu’elle ne soit transformée en tas de chair, puis en squelette avide de vengeance. Le squelette parcourt la ville, l’air hagard. Les passants s’écartent en lui jetant des regards mauvais. A cette heure-ci la ville est pleine de gens et de chiens. Des tas de chiens, Différents et à la fois très semblables au Chien que le squelette recherche. Il ne se souvient pas avoir déjà vu autant de clébards dehors, ou alors il ne les remarquait pas du temps ou il était une innocente. Certains chiens regardent bizarrement le squelette, l’air de se dire que, s’il n’y a plus de gorge à saccager, il pourrait être amusant de ronger ses os. Plusieurs fois le squelette croit voir le Chien, s’apprête à bondir les ongles en avant, mais au dernier moment il réalise que ce n’est pas le bon chien. Ce n’est qu’un sale cabot plein de puces, une bestiole qui mérite sûrement le même sort que le Chien pour avoir sans nulle doute commis les mêmes atrocités sans ciller, mais ce n’est pas le Chien. Le courage du squelette quitte sa mâchoire, dégouline le long de ses bras, s’égoutte du bout de ses doigts et reste vaguement collé à ses chaussures usées. En s’effilochant, la haine à laissé un désespoir tout troué sous le crâne su squelette. Alors seulement il les voit. D’autres squelettes, d’autres tas de chair, d’autres poupées de chiffons, vivantes mais pas vraiment, des créatures qui fonctionnent approximativement sans vivre correctement. Des êtres qui ont perdu quelque chose un soir, quelque part, sur un parking, au coin d’une rue, dans un garage sous-terrain, dans la sécurité de leur chez-eux, volé par un chien inconnu, par le chien du voisin ou parfois par ce bon vieux Médor, l’ami de toute une vie. Trop de chiens à massacrer. Trop de coupables. Le squelette n’en revient pas. Constat désespérant, la terre est peuplée de chiens, de gens désagréables et de tas amochés. Un chien de moins, qu’est-ce que ça changerait ? Même si c’était le Chien. Il y en a squelette rentre chez lui. Il a faim. Il en a marre d’être un squelette. Il veut à nouveau ressembler à peu près à une écrit ce texte le d'après un poème que j'avais écrit puis jeté quand j'avais 17 ans, c'est-à-dire 2 ans après avoir été violée, le temps qu'il m'a fallu pour cesser de nier ce qui s'était passé et pour commencer timidement à en parler, ou plutôt à y faire allusion. La fin est plutôt pessimiste, c'était l'humeur du moment. Je ne crois plus qu'il faille vivre sa vie en tentant d'oublier un événement aussi bouleversant. Je crois qu'il faut se battre pour que le monde soit un peu plus rempli de gens souriants qui ont vaincu leurs démons. Je crois que ça en vaut la peine.
Chezla chatte, l’ovulation est déclenchée par la saillie et elle a lieu 48 à 72 heures plus tard. La durée de la gestation est de 63 à 68 jours. Attention : Une chatte peut très bien se reproduire avec son père, son frère, etc. Nous vous recommandons de stériliser rapidement les chatons d’une portée si vous ne souhaitez pas qu

Vousdevez faire s'accoupler un chien heureux, sûr de lui et obéissant lorsqu'il est autant avec les hommes qu'avec les autres animaux. 9. Faites passer un test de la brucellose à votre chien. La brucellose est une infection bactérienne qui peut éventuellement provoquer la stérilité chez les deux sexes [12] .

Laleishmaniose : une maladie qui fait peur mais qui se traite ! La leishmaniose est une maladie dite Méditerranéenne, qui sévit principalement sur le pourtour méditerranéen, l’Espagne, la Corse, l’Italie, et de plus en plus le sud de la France. Mais en raison du réchauffement climatique, on la rencontre maintenant dans des régions
Aprèsla saillie de la chienne, vous pourrez juste observer une prise de poids très minime en gestation à partir de la 3ème ou 4ème semaine. Vous pourrez aussi évaluer le grossissement des tétines qui gonflent après la saille de la chienne. Observez aussi son comportement qui va se modifier. Elle va manger plus et va avoir des envies de

D Dem30ng. 08/08/2011 à 04:50. ce n'est que l'expression de l'ascension sociale de votre chienne dans la hiérarchie, puisque dans la meute sauvage, seule la femelle alpha, la dominante, a le droit d'etre saillie. Ca ne prouve pas qu'elle soit gestante, ca prouve juste qu'elle a gravit des échelons dans la hiérarchie, et qu'elle a les

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